J'entends innocemment : sur son propre désir Quelque rigueur que l'on exerce, Encore y prend-on du plaisir. Volupté, Volupté, qui fus jadis maîtresse Du plus bel esprit de la Grèce, Ne me dédaigne pas, viens-t'en loger chez moi ; Tu n'y seras pas... Oeuvres completes - Page 364by Jean de La Fontaine - 1826 - 493 pagesFull view - About this book
| Paul Albert - French literature - 1878 - 484 pages
...au-devant des objets, les caresse et repart. J'aime le jeu, les vers, les livres, la musique, La ville, la campagne, enfin tout. Il n'est rien Qui ne me soit souverain bien, Jusqu'aux sombres plaisirs d'un cœur mélancolique. Même variété dans ses lectures. Il se croit... | |
| Michel de Montaigne - 1879 - 698 pages
.../:/'/'.'.'. 99 : Esse aliquam cognatam trittitia voluptatcm. C. 3 LÀ FONTAINE, Ptychi, liv. II : 11 n'est rien Qui ne me soit souverain bien, Jusqu'au sombre plaisir d'nn cœur mélancolique. La Fontaine est peut-être le seul écrivain célèbre du siècle de Louis XIV qui ait conservé à... | |
| Paul Albert - Poetry - 1882 - 416 pages
...à tout sujet, Je vais de fleuron fleur, et d'objet en objet. Et ailleurs : J'aime le jeu, les vers, les livres, la musique, La ville et la campagne, enfin...ne me soit souverain bien, Jusqu'au sombre plaisir d'un cœur melancolique. Q'.iel sens profond dans ce dernier vers !Une telle disposition d'esprit devient... | |
| Jean de La Fontaine - 1880 - 436 pages
...himself :— Volupt£, Volupte, qui fusjadis maitresse Du plus bel esprit de la Greee, Ne me dedaigne pas; viens-t'en loger chez moi: Tu n'y seras pas sans emploi: J'aime le jeu, 1'amour, les livres, la musique, La ville et la campagne, enfin tout; il n'est rien Qui ne me soil... | |
| Jean de La Fontaine - 1883 - 722 pages
...l'hymne à la Volupté, qui est à la fin de son récit : Volupté, Volupté, qui fus jadis maîtresse Du plus bel esprit de la Grèce, Ne me dédaigne pas,...La ville et la campagne, enfin tout : il n'est rien Si l'on cherche où il nous a donné ses Mémoires, c'est ici. Jamais épicurisme ne fut plus aimablement... | |
| Jean de La Fontaine - 1883 - 718 pages
...l'hymne à la Volupté, qui est à la fin de son récit : Volupté, Volupté, qui fus jadis maîtresse Du plus bel esprit de la Grèce, Ne me dédaigne pas,...La ville et la campagne, enfin tout : il n'est rien Si l'on cherche où il nous a donné ses Mémoires , c'est ici. Jamais épicurisme ne fut plus aimablement... | |
| Jean de La Fontaine - 1883 - 724 pages
...Volupté, qui fus jadis maîtresse Du plus bel esprit de la Grèce, Ne me dédaigne pas, Tiens-t'en loger chez moi; Tu n'y seras pas sans emploi. J'aime le jeu, l'amour, les litres, la musique, La ville et la campagne, enfin tout : il n'est rien Si l'on cherche où il nous... | |
| Jean de La Fontaine - 1892 - 484 pages
...de nous plonger. (IV, i j.) MÉLANCOLIQUE : Pourquoi cette maison noire et mélancolique ? (VI, 76.) Il n'est rien Qui ne me soit souverain bien, Jusqu'au sombre plaisir d'un cœur mélancolique. (VIII, a33.) « Il ya quelque iimbre de friandise et delicatesse qui nous... | |
| François Guizot - France - 1887 - 600 pages
...objet. A beaucoup de plaisirs je mêle un peu de •.loire. ! Et dans la Psyché : « J'aime les jeux, l'amour, les livres, la musique, La ville et la campagne,...ne me soit souverain bien, Jusqu'au sombre plaisir d'un cœur mélancolique. » La grâce, la naïveté, l'originale indépendance de l'esprit et des... | |
| François Guizot - France - 1887 - 594 pages
...objet. A beaucoup de plaisirs je mêle un peu de gloire. » Et dans la Psyché : « J'aime les jeux, l'amour, les livres, la musique, La ville et la campagne,...ne me soit souverain bien, Jusqu'au sombre plaisir d'un cœur mélancolique. » La grâce, la naïveté, l'originale indépendance de l'esprit et des... | |
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