N'est-ce point le pauvre Bayard que je vois, au pied de cet arbre, étendu sur l'herbe, et percé d'un grand coup? Oui, c'est lui-même. Hélas ! je le plains. En voilà deux qui périssent aujourd'hui par nos armes, Vandenesse * et lui. Otto's French Conversation Grammar - Page 288by Emil Otto - 1870Full view - About this book
| François Noel - 1838 - 788 pages
...périssent aujourd hui par nos armes, Vendenesse et lui. Ces deux Français étaient deux ornemens de leur nation par leur courage. Je sens que mon cœur est encore touché pour sa pairie. Mais avançons pour lui parler. Ah ! mon pauvre liayard ! c'est avec douleurque je te vois... | |
| Antonin Roche - 1845 - 766 pages
...au pied de cet arbre étendu sur l'herbe, et percé d'un grand coup? Oui, c'est lui-même. Hélas! je le plains. En voilà deux qui périssent aujourd'hui par nos armes : Vaudenesse et lui. Ces deux Français étaient deux ornements de leur nation par leur courage. Je... | |
| Wilhelm de Suckau - German language - 1849 - 470 pages
...au pied de cet arbre étendu sur l'herbe, et percé d'un grand coup? Oui, c'est lui-même. Hélas! je le plains. En voilà deux qui périssent aujourd'hui par nos armes, Vendcncsse et lui. Ces deux Français étaient deux ornements de leur nation par leur courage. Je sens... | |
| François Noel - French language - 1851 - 792 pages
...pied de cet arbre , étendu sur l'herbe , et percé d'un grand coup ? Oui , c'est lui-même. Hélas ! je le plains. En voilà deux qui périssent aujourd'hui par nos armes , Vendenesse et lui. Ces deux Français étaient deux ornemens de leur • nation par leur courage.... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1852 - 486 pages
...au pied de cet arbre, étendu sur l'herbe et percé d'un grand coup ? Oui, c'est lui-même. Hélas ! je le plains. En voilà deux qui périssent aujourd'hui...pour sa patrie. Mais avançons pour lui parler. Ah ! mou pauvre Bayard, c'est avec douleur que je te vois en cet état. BAYABD. C'est avec douleur que... | |
| Antonin Roche - French prose literature - 1854 - 704 pages
...au pied de cet arbre étendu sur l'herbe, et percé d'un grand coup? Oui, c'est lui-même. Hélas! je le plains. En voilà deux qui périssent aujourd'hui par nos armes : Vandenesse et lui. Ces deux François étoient deux ornements de leur nation par leur courage. Je sens que mon cœur est encore... | |
| Léger Noël - 1861 - 772 pages
...pied de cet arbre , étendu sur l'herbe, et percé d'un grand coup ? Oui , c'est lui-même. Hélas ! je le plains. En voilà deux qui périssent aujourd'hui...armes, Vandenesse et lui. Ces deux Français étaient l'ornement de leur nation par leur courage. Je sens que mon cœur est encore touché pour sa patrie.... | |
| R. E. L. Delaborde - 1863 - 1066 pages
...voilá>deux qnipérissent aujourd'huipar nos armes, Vandenesse ct luí. Ces deux Francais élaient deux ornements de leur nation par leur courage. Je sens que mon cceur'esl encoré touché pour sa patrie. Mais avansons pour luí parler. Ah! rnon pauvre Dayard! c'.est... | |
| French literature - 1864 - 516 pages
...an pied de cet arbre, étendu sur l'herbe, et percé d'un grand coup? Oui, c'est lui-même. Hélas! je le plains. En voilà deux qui périssent aujourd'hui par nos armes, Vandenesses et lui. Ces deux Français étaient deux ornements de leur nation par leur courage. Je... | |
| Antonin Roche - French prose literature - 1867 - 584 pages
...au pied de cet arbre, étendu sur l'herbe, et percé d'un grand coup? Oui, c'est lui-même. Hélas! je le plains. En voilà deux qui périssent aujourd'hui par nos armes, Vandenesse 2 et lui. Ces deux Français étaient deux ornements de leur nation par leur courage. Je sens que mon... | |
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