| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - French fiction - 1856 - 410 pages
...tout ses muscles : il était également souple87 et fort. Je ne lui parus pas digne d'être vaincu ; et, regardant avec pitié ma tendre jeunesse, il voulut...Alors nous nous saisîmes l'un l'autre ; nous nous serrâmes88 à perdre la respiration.88 Nous étions épaule contre81 épaule, pied contre pied, tous... | |
| Sandhurst roy. military coll - 1859 - 672 pages
...tous ses muscles : il était également souple et fort. Je ne lui parus pas digne d'être vaincu ; et regardant avec pitié ma tendre jeunesse, il voulut...et les bras entrelacés comme des serpents, chacun s'efforçant d'enlever de terre son ennemi. Tantôt il essayait de 'me surprendre en me poussant du... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1860 - 508 pages
...voyait tous ses muscles : il était également souple et fort. Je ne lui parus pas digne d'être vaincu; et, regardant avec pitié ma tendre jeunesse, il voulut...Nous étions épaule contre épaule, pied contre pied , loué les nerfs tendus et les bras entrelacés comme des serpents, chacun s'efforçant d'enlever... | |
| Bescherelle (M., Louis-Nicolas), H. Bescherelle, Litais de Gaux - French language - 1860 - 926 pages
...COMPÈRE. (PlROX.) Lorsque les blés sont en FLEOR , y voit-on des péUlcs colorés ? (l.-l. ROUSSEAU.) Nous étions épaule contre épaule, PIED contre PIED, tous les nerfs tendus et les liras entrelacés comme des serpents , chacun s'efforçant d'enlever de terre son ennemi. Me voici... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1862 - 408 pages
...pas digne d'être vaincu ; et, regardant 10 avec pitié ma tendre jeunesse, il voulut se retirer:11 mais je me présentai à lui. Alors nous nous saisîmes l'un l'autre; nous nous serrâmes à perdre12 la respiration." Nous étions épaule contre1* épaule, pied contre pied, tous les nerfs tendus16... | |
| A P Le Page - 1864 - 500 pages
...voyait tous ses muscles : il était également souple et fort. Je ne lui parus pas digne d'être vaincu; et, regardant avec pitié ma tendre jeunesse, il voulut...épaule, pied contre pied, tous les nerfs tendus et les br;is entrelacés comme des serpents, chacun s'efforçant d' enlever de terre son ennemi. Tantôt il... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1865 - 438 pages
...parus pas digne d'être vaincu ; et, regardant avec pitié ma tendre jeunesse, il voulut se retirer:1 mais je me présentai à lui. Alors nous nous saisîmes l'un l'autre; nous nous serrâmes10 à perdre la respiration." Nous étions épaule contre12 épaule, pied contre pied, tous... | |
| Académie française - French language - 1865 - 818 pages
...très-vive, ce qu'expriment les locutions au point de, de manière à, capable de, etc. 1° Après un verbe : Alors nous nous saisîmes l'un l'autre, nous nous serrâmes à perdre la respiration . . . épaule contre épaule, pied contre pied. . . FÉAELOÎÏ, Tèlémaqiie, V. Quand j'aurois volonté... | |
| François de Salignac de la Mothe Fénelon (abp. of Cambrai.) - 1869 - 530 pages
...tous ses muscles : il étoit également souple et fort. Je ne lui parus pas digne d'être vaincu ; et, regardant avec pitié ma tendre jeunesse, il voulut...étions épaule contre épaule, pied contre pied, tousles nerfs tendus et les bras entrelacés comme des serpents, chacun s'efforçant d'enlever de terre... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - French fiction - 1869 - 408 pages
...d'être vaincu; et, regardant 10 avec pitié ma tendre jeunesse, il voulut se retirer:" mais je uie présentai à lui. Alors nous nous saisîmes l'un...contre" épaule, pied contre pied, tous les nerfs tendus'8 et les bras entrelacés" comme des serpents, chacun s'efforçant d'enlever de:l terre 15 son... | |
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