VIII. La donatio propter nuptias (§ 166)..... IX. Conventions matrimoniales (§ 167). Page 436 438 X. Dissolution du mariage en général; divorce en particu lier ($168)..... 439 XI. Seconds et subséquents mariages (S 169)........... 442 443 CHAPITRE II. II. Privation d'enfants, orbitas (S 172). III. La puissance paternelle (§ 173).. THÉORIE DES RAPPORTS ENTRE ASCENDANTS ET DESCENDANTS, ET DE LA PUISSANCE PATERNELLE EN PARTICULIER. I. Rapports généraux entre les parents et les enfants (S171)..... 444 447 ibid. I. Nature et effets de la puissance paternelle. I. Généralités (§ 174)............. 448 II. Droit qu'a le père d'acquérir par ses fils de famille 1. Acquisition de la puissance paternelle sur les enfants nés du mariage (§ 177). 458 II. Acquisition de la puissance paternelle par la légitima II. L'émancipation en général (§ 181) ............................... CHAPITRE III. THÉORIE DE LA TUTELLE ET DE LA CURATELLE. I. Caractère général de la tutelle et de la curatelle; leur place dans le système (§ 182). ....... 472 II. Distinction de la tutelle et de la curatelle (§ 183)..... 475 XXVI IV. Administration des biens et devoirs qui en résultent I. Notion générale ($184).... Page 476 II. Détermination de la personne du tuteur (§ 185)...... 478 III. Fonctions du tuteur en général (S186)... 483 pour le tuteur (S 187)..... 486 V. Fin de la tutelle (§ 188). 489 1. Ses espèces principales (§ 190).... 495 II. Principes généraux sur la curatelle (S 191)......... 497 LIVRE V. THÉORIE DE LA TRANSMISSION HÉRÉDITAIRE, OU DES SUCCESSIONS EN CAS DE MORT. Place qu'occupe cette théorie dans le système (§ 192).... 499 PREMIÈRE SECTION. Théorie de la succession héréditaire proprement dite. CHAPITRE PREMIER. INTRODUCTION GÉNÉRALE AU DROIT DE SUCCESSION HÉRÉDITAIRE. I. L'hérédité en général, par opposition aux legs (S 193). 501 II. Conditions essentielles de toute succession héréditaire (S 194).... 504 III. L'hereditas et la bonorum possessio dans leurs rapports mutuels (S 195)..... 506 CHAPITRE II. DÉLATION DE LA SUCCESSION D'APRÈS UN TESTAMENT. I. Notion générale du testament (§ 196). 515 II. Conditions générales exigées pour la validité d'un testament (S 197).. 517 III. Histoire des formes du testament (§ 198)..... 520 ($199).... 523 V. Ce que peut et ce que doit, en général contenir le testament (S 200)... Page 526 VI. Institution de l'héritier direct, en particulier ($ 201).. 527 VII. Substitutions qui renferment des institutions directes d'héritiers (S 202)... 531 CHAPITRE III. DÉLATION DE L'HÉRÉDITÉ SANS TESTAMENT, AB INTESTAT. I. Conditions requises pour cette délation (§ 203)....... 533 537 541 CHAPITRE IV. Délation de LA SUCCESSION CONTRE LA teneur d'un TESTAMENT. I. Introduction (§ 207)... 546 II. Obligation imposée au testateur de faire une mention 549 .... IV. Dernière restriction imposée au testateur par la Novelle 115 (S210).... 552 CHAPITRE V. ACQUISITION De l'hérédité. (S214).... I. Notion générale (§ 211)..... II. Adition de l'hérédité (§ 212).. III. Acquisition de l'hérédité ipso jure (§ 213).... IV. Effets de l'acquisition de la succession, en général V. Obligation des héritiers aux dettes de la succession 553 554 559 .... 561 ($215).... 563 VI. Confusio et separatio bonorum (§ 216)...... 565 566 VIII. Rapports des cohéritiers entre eux (§ 218)... 568 ...... déférée (§ 219). 570 DEUXIÈME SECTION. Théorie des dispositions de dernière volonté à titre singulier. I. Observations préliminaires (S 220). ! PRÉCIS D'UN COURS SUR L'ENSEMBLE DU DROIT PRIVÉ DES ROMAINS. INTRODUCTION. $ 1. Le droit et l'état. Le droit est ce qui répond à l'idée du juste. Cette idée du juste ou du droit se trouve dans le rapport le plus intime avec l'idée du bien moral. Car toutes les deux découlent de la même source, de la raison pratique de l'homme, et sont des déductions d'une seule et même vérité éternelle d'après laquelle les hommes, soit individuellement, soit collectivement, sont capables d'un perfectionnement constamment progressif, et doivent s'y appliquer avec persévérance. En conséquence, le droit l'un à l'autre, mais plutôt comme des parties et le bien moral n'apparaissent pas comme opposés d'un même tout, se complétant mutuellement, et destinées à suppléer à leur insuffisance respective et |