Études de littérature, ancienne & étrangère |
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... n'était pas involontaire : l'auteur , qui avait trop d'esprit pour ne pas se douter de cela , crut avec raison qu'il pourrait bien user de ce vieux langage appris , de cette langue morte ressuscitée , en l'appliquant à une traduction ...
... n'était pas involontaire : l'auteur , qui avait trop d'esprit pour ne pas se douter de cela , crut avec raison qu'il pourrait bien user de ce vieux langage appris , de cette langue morte ressuscitée , en l'appliquant à une traduction ...
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... n'était nullement propre , avec ses formules de politesse , sa pompe et sa bienséance , à rendre les libres récits , les tours irréguliers , et les paroles expressives du vieux historien de la Grèce ; il s'est moqué de Larcher , qui a ...
... n'était nullement propre , avec ses formules de politesse , sa pompe et sa bienséance , à rendre les libres récits , les tours irréguliers , et les paroles expressives du vieux historien de la Grèce ; il s'est moqué de Larcher , qui a ...
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... n'était qu'un fragment d'un long travail sur le poëme de la Nature . Voltaire , dans les Lettres de Memmius et dans quelques autres écrits , parle souvent de Lucrèce avec une vive admiration . Il paraît même que , dans sa métaphysique ...
... n'était qu'un fragment d'un long travail sur le poëme de la Nature . Voltaire , dans les Lettres de Memmius et dans quelques autres écrits , parle souvent de Lucrèce avec une vive admiration . Il paraît même que , dans sa métaphysique ...
Page 32
... n'était pas encore assez estimée dans Rome . Parmi différentes causes , il plaida pour le célèbre comédien Roscius , son ami et son maître dans l'art de la déclamation . Enfin , parvenu à l'âge de trente ans , se voyant au terme de son ...
... n'était pas encore assez estimée dans Rome . Parmi différentes causes , il plaida pour le célèbre comédien Roscius , son ami et son maître dans l'art de la déclamation . Enfin , parvenu à l'âge de trente ans , se voyant au terme de son ...
Page 41
... n'était plus dans Rome une puissance assez forte par elle - même , et que le plus grand orateur avait besoin d'être protégé par un guerrier . Le fougueux Clodius s'opposait à force ouverte au ré- tablissement des maisons de Cicéron , et ...
... n'était plus dans Rome une puissance assez forte par elle - même , et que le plus grand orateur avait besoin d'être protégé par un guerrier . Le fougueux Clodius s'opposait à force ouverte au ré- tablissement des maisons de Cicéron , et ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 250 - We have but collected them, and done an office to the dead, to procure his orphans guardians; without ambition either of self-profit or fame; only to keep the memory of so worthy a friend and fellow alive as was our Shakespeare, by humble offer of his plays to your most noble patronage.
Page 233 - Your monument shall be my gentle verse, Which eyes not yet created shall o'er-read ; And tongues to be, your being shall rehearse, When all the breathers of this world are dead ; You still shall live (such virtue hath my pen) Where breath most breathes, — even in the mouths of men.
Page 231 - Desiring this man's art and that man's scope, With what I most enjoy contented least; Yet in these thoughts myself almost despising, Haply I think on thee...
Page 230 - O ! for my sake do you with Fortune chide The guilty goddess of my harmful deeds, That did not better for my life provide Than public means which public manners breeds. Thence comes it that my name receives a brand, And almost thence my nature is subdu'd To what it works in, like the dyer's hand...
Page 234 - Give salutation to my sportive blood ? Or on my frailties why are frailer spies, Which in their wills count bad what I think good ? No, I am that I am, and they that level At my abuses reckon up their own: I may be straight, though they themselves be bevel; By their rank thoughts my deeds must not be shown; Unless this general evil they maintain, All men are bad and in their badness reign.
Page 243 - Sweet Swan of Avon ! what a sight it were To see thee in our waters yet appear, And make those flights upon the banks of Thames, That so did take Eliza, and our James...
Page 300 - Bible hébraïque ; puis il travaillait à son poëme, dont il dictait les vers à sa femme, ou quelquefois à un ami, à un étranger qui le visitait. La musique était une de ses distractions ; il touchait de l'orgue, et chantait avec goût. Au milieu de cette vie simple et occupée, le Paradis perdu, si longtemps médité, s'acheva promptement.
Page 300 - ... avaient achevé d'ôter tout frein à son imagination, et lui donnaient quelque chose d'impétueux et d'illimité, comme les rêves du fanatisme. A tant de sources d'originalité il faut joindre cette féconde imitation de la poésie antique, qui nourrissait la verve de Milton. Homère, après la Bible, avait toujours été sa première lecture; il le savait presque par cœur, et l'étudiait sans cesse. Aveugle et solitaire, ses heures étaient partagées entre la composition poétique et le...
Page 122 - ... exemple que Shakspeare , dont le génie fier et libre n'a jamais été mieux inspiré que par Plutarque, et qui lui doit les scènes les plus sublimes et les plus naturelles de son Coriolan et de son Jules César ? Montaigne, Montesquieu , Rousseau, sont encore trois grands génies sur lesquels on retrouve l'empreinte de Plutarque, et qui ont été frappés et colorés par sa lumière. Cette immortelle vivacité du style de Plutarque, s'unissant à l'heureux choix des plus grands sujets qui puissent...
Page 233 - Your name from hence immortal life shall have, Though I, once gone, to all the world must die : The earth can yield me but a common grave, When you entombed in men's eyes shall lie. Your monument shall be my gentle verse, Which eyes not yet created shall o'er-read, And tongues to be your being shall rehearse When all the breathers of this world are dead...