Études de littérature, ancienne & étrangère |
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... enfin , dans cette époque où l'ancienne Italie étalait toutes les grandeurs du crime , comme l'Italie du xve siècle en reproduisit toutes les bassesses . On sait peu de chose de sa vie . Il la passa certaine- ment loin des affaires ...
... enfin , dans cette époque où l'ancienne Italie étalait toutes les grandeurs du crime , comme l'Italie du xve siècle en reproduisit toutes les bassesses . On sait peu de chose de sa vie . Il la passa certaine- ment loin des affaires ...
Page 32
... Enfin , parvenu à l'âge de trente ans , se voyant au terme de son glorieux apprentissage , ayant tout reçu de la nature , ayant tout fait par le travail pour réaliser en lui l'idée du parfait orateur , il entra dans la carrière des ...
... Enfin , parvenu à l'âge de trente ans , se voyant au terme de son glorieux apprentissage , ayant tout reçu de la nature , ayant tout fait par le travail pour réaliser en lui l'idée du parfait orateur , il entra dans la carrière des ...
Page 38
... Enfin , l'orage éclata par la furieuse animosité de Clodius ; et ce con- sulat tant célébré par Cicéron , devint le moyen et le pré- texte de sa ruine . Clodius fit passer une loi qui déclarait coupable de trahison quiconque aurait fait ...
... Enfin , l'orage éclata par la furieuse animosité de Clodius ; et ce con- sulat tant célébré par Cicéron , devint le moyen et le pré- texte de sa ruine . Clodius fit passer une loi qui déclarait coupable de trahison quiconque aurait fait ...
Page 39
... Enfin , il se réfugia chez Plancus , à Thessalonique . Sa douleur était excessive , et la philo- sophie , qui , dans ses malheurs , servit souvent à occu- per son esprit , n'avait alors le pouvoir ni de le con- soler ni de le distraire ...
... Enfin , il se réfugia chez Plancus , à Thessalonique . Sa douleur était excessive , et la philo- sophie , qui , dans ses malheurs , servit souvent à occu- per son esprit , n'avait alors le pouvoir ni de le con- soler ni de le distraire ...
Page 43
... enfin il suivit Pompée . César marcha vers Rome , et son imprudent rival fut réduit à fuir avec les consuls et le sénat ; Cicéron , qui n'avait pas prévu cette soudaine invasion , se trouvait encore en Italie , par irrésolution et par ...
... enfin il suivit Pompée . César marcha vers Rome , et son imprudent rival fut réduit à fuir avec les consuls et le sénat ; Cicéron , qui n'avait pas prévu cette soudaine invasion , se trouvait encore en Italie , par irrésolution et par ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 250 - We have but collected them, and done an office to the dead, to procure his orphans guardians; without ambition either of self-profit or fame; only to keep the memory of so worthy a friend and fellow alive as was our Shakespeare, by humble offer of his plays to your most noble patronage.
Page 233 - Your monument shall be my gentle verse, Which eyes not yet created shall o'er-read ; And tongues to be, your being shall rehearse, When all the breathers of this world are dead ; You still shall live (such virtue hath my pen) Where breath most breathes, — even in the mouths of men.
Page 231 - Desiring this man's art and that man's scope, With what I most enjoy contented least; Yet in these thoughts myself almost despising, Haply I think on thee...
Page 230 - O ! for my sake do you with Fortune chide The guilty goddess of my harmful deeds, That did not better for my life provide Than public means which public manners breeds. Thence comes it that my name receives a brand, And almost thence my nature is subdu'd To what it works in, like the dyer's hand...
Page 234 - Give salutation to my sportive blood ? Or on my frailties why are frailer spies, Which in their wills count bad what I think good ? No, I am that I am, and they that level At my abuses reckon up their own: I may be straight, though they themselves be bevel; By their rank thoughts my deeds must not be shown; Unless this general evil they maintain, All men are bad and in their badness reign.
Page 243 - Sweet Swan of Avon ! what a sight it were To see thee in our waters yet appear, And make those flights upon the banks of Thames, That so did take Eliza, and our James...
Page 300 - Bible hébraïque ; puis il travaillait à son poëme, dont il dictait les vers à sa femme, ou quelquefois à un ami, à un étranger qui le visitait. La musique était une de ses distractions ; il touchait de l'orgue, et chantait avec goût. Au milieu de cette vie simple et occupée, le Paradis perdu, si longtemps médité, s'acheva promptement.
Page 300 - ... avaient achevé d'ôter tout frein à son imagination, et lui donnaient quelque chose d'impétueux et d'illimité, comme les rêves du fanatisme. A tant de sources d'originalité il faut joindre cette féconde imitation de la poésie antique, qui nourrissait la verve de Milton. Homère, après la Bible, avait toujours été sa première lecture; il le savait presque par cœur, et l'étudiait sans cesse. Aveugle et solitaire, ses heures étaient partagées entre la composition poétique et le...
Page 122 - ... exemple que Shakspeare , dont le génie fier et libre n'a jamais été mieux inspiré que par Plutarque, et qui lui doit les scènes les plus sublimes et les plus naturelles de son Coriolan et de son Jules César ? Montaigne, Montesquieu , Rousseau, sont encore trois grands génies sur lesquels on retrouve l'empreinte de Plutarque, et qui ont été frappés et colorés par sa lumière. Cette immortelle vivacité du style de Plutarque, s'unissant à l'heureux choix des plus grands sujets qui puissent...
Page 233 - Your name from hence immortal life shall have, Though I, once gone, to all the world must die : The earth can yield me but a common grave, When you entombed in men's eyes shall lie. Your monument shall be my gentle verse, Which eyes not yet created shall o'er-read, And tongues to be your being shall rehearse When all the breathers of this world are dead...