Vie d'Anacréon. Odes d'Anacréon. Vies de Bion et de Moschus. Idylles de Bion. Idylles de Moschus. Épigrammes de l'Anthologie. Morceaux traduits de CAtulle1785 - Classical poetry |
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Common terms and phrases
Adonis n'eft agréable aîles aimable ainfi Alcmène Amours Anacréon Apollon auffi avoit Bacchus baifer baifers Bathylle beau belle Bergère boutons de rofes c'eft C'eſt caufe ceffe chante charmant Adonis chère cheveux compofé cruel Cupidon Cythérée d'Anacréon danfe Déeffe défirs deftins déja délicateffe délicieux Dieu Dieux douce douleur doux efprit enfuite ÉPIGRAMME étoient étoit faifon fang fans fens fes yeux feul feux fleurs flots foit folâtrer fombre fommeil fon fein fonge font foupirs fous fouvent fuis fuis-je fujet fur fon Gacon Graces IDYLLE inftant jeune beauté jeune Princeffe jour Jupiter l'Amour l'efprit laiffe Lesbie Lyre maîtreffe Mégare Moineau mort Mufes MYRSON ô Hyménée Ode eft oifeau paffé parfums paroît plaifir plaifirs plufieurs Pluton Poéfies Poëte Polycrate préfent preffe Printems puiffante refpire Remi Belleau richeffe RIGOLEY DE JUVIGNY Rofe Rofe eft taureau tems tendre Téos Théocrite triftes Vénus veux vieilleffe voici l'Hymen Vulcain zéphirs
Popular passages
Page 21 - Voilà, dit-il, pour ta peine. Souviens-toi bien de Clymène, Et de l'Amour, c'est mon nom. — Ah! je vous connais, lui dis-je, Ingrat et cruel garçon; Faut-il que qui vous oblige Soit traité de la façon ! » Amour fit une gambade, Et le petit scélérat Me dit : « Pauvre camarade, Mon arc est en bon état, Mais ton cœur est bien malade.
Page 20 - J'ouvre au pauvre morfondu, Et m'enquiers comme il se nomme. « Je te le dirai tantôt, Repartit-il; car il faut Qu'auparavant je m'essuie.
Page 172 - ROSETTE, pour un peu d'absence, Votre cœur vous avez changé, Et moi, sachant cette inconstance, Le mien autre part j'ai rangé ; Jamais plus beauté si légère Sur moi tant de pouvoir n'aura : Nous verrons, volage bergère, Qui premier s'en repentira. Tandis qu'en pleurs je me consume, Maudissant cet éloignement, Vous, qui n'aimez que par coutume, Caressiez un nouvel amant.
Page 104 - Hélas! j'ai beau crier : il est sourd à ma plainte. Une éternelle nuit l'oblige à me quitter; Mes pleurs ni mes soupirs ne peuvent l'arrêter.
Page 20 - Je m'approche toutefois, Et de l'enfant prends les doigts, Les réchauffe ; et dans moi-même Je dis, Pourquoi craindre tant ? Que peut-il ? c'est un enfant ; Ma couardise est extrême D'avoir eu le moindre effroi. Que serait-ce si chez moi J'avais reçu Polyphème?
Page 143 - D'abord rien ne paroissoit plus innocent, plus doux, plus aimable, plus ingénu et plus gracieux, que cet enfant. A. le voir enjoué, flatteur, toujours riant, on...
Page 104 - Ils n'ont pu du trépas exempter tes amours; Tu vois qu'ils n'ont pu même en prolonger les jours. Je ne demandais pas que la Parque cruelle Prît à filer leur trame une peine éternelle; Bien loin que mon pouvoir l'empêchât de finir, Je demande un moment, et ne puis l'obtenir.
Page 21 - L'enfant, d'un air enjoué, Ayant un peu secoué Les pièces de son armure Et sa blonde chevelure, Prend un trait, un trait vainqueur Qu'il me lance au fond du cœur. « Voilà, dit-il, pour ta peine!
Page 28 - Que me vaudrait désormais De voler par les montagnes , Par les bois, par les campagnes. Et sans cesse me brancher Sur les arbres , pour chercher Je ne sais quoi de champêtre Pour sauvagement me paître , Vu que je mange du pain Becqueté dedans la main D'Anacréon , qui me donne Du même vin qu'il ordonne Pour sa bouche; et , quand j'ai bu Et...
Page 171 - Philis dit le diable de moi. De fon amour & de fa foi Ceft une preuve aflez nouvelle. Ce qui me fait croire pourtant Qu'elle m'aiine effectivement, C'eft que je dis le diable d'elle , Et que je l'aime éperdûment.