Lycée, ou, Cours de littérature ancienne et moderne: PhilosophieA. Costes, 1813 - Classical literature |
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assez athées aurait aveugles axiome Babœuf besoin cagot cause causes finales chose chrétien Cicéron classe commun conséquences crime croire crois déisme déiste Démosthene déraison derniere Devin du Village Diderot Dieu dire divine doctrine doit doute écrit écrivain effet enfans espece essentiellement eût force général genre gens Helvétius hommes humain idées j'ai jamais Jean-Jacques Rousseau jugement juste justice l'amour l'auteur du Code l'autre l'esprit l'homme LAHARPE langue latin leçons législateur livre lois long-tems losophie Louis XV lui-même lumieres maniere ment métaphysique mieux monde morale moyens n'en Nature naturelle nécessaire ouvrage pable parler paroles particulieres passions penser peuple philo philoso philosophie phrase physique poëtes possible pouvait premiere principe propriété prouver Providence qu'à qu'un raison religion révolution ridicule rien Rousseau s'il sait saurait science Séneque sens sentir serait seul siecle social sophistes souvent Sparte sûr sur-tout talent tems teur tion vérité vertu veut vice voilà Voltaire vrai
Popular passages
Page 150 - ... que nous ne devons pas faire à autrui ce que nous ne voudrions pas qu'on nous fit.
Page 265 - Je ne suis fait comme aucun de ceux que j'ai vus; j'ose croire n'être fait comme aucun de ceux qui existent.
Page 23 - ... mille fois plus fou de nier qu'il existe un Dieu que de nier que votre semblable pense. Or, que cela...
Page 45 - Je veux mourir dans la religion de mes pères, et je la crois bonne autant qu'il est possible à quiconque n'a jamais eu aucun commerce immédiat avec la Divinité, et qui n'a jamais été témoin d'aucun miracle.
Page 12 - passions , et les grandes passions , qui puissent « élever l'homme aux grandes choses. » Ainsi , en rendant sa proposition exclusive pour la rendre plus forte, il ne réussit qu'à la rendre fausse; car le sacrifice d'une grande passion au devoir est à coup sûr une grande chose, puisque ce sacrifice est...
Page 234 - S'il y est peu de temps, l'administration se relâche et languit sous une suite d'administrateurs communs. Qu'ils songent que ce n'est ni par l'or, ni même par la multitude des bras qu'un État se soutient, mais par les mœurs.
Page 93 - Dieu! je ne sais si tu es; mais je penserai comme si tu voyais dans mon âme, j'agirai comme si j'étais devant toi. Si j'ai péché quelquefois contre ma raison, ou ta loi, j'en serai moins satisfait de ma vie passée; mais je n'en serai pas moins tranquille sur mon sort à venir, parce que tu as oublié ma faute aussitôt que je l'ai reconnue. Je ne te demande rien dans ce monde; car le cours des choses est nécessaire par lui-même, si tu n'es pas ; ou par ton décret, si tu es. J'espère à tes...
Page 96 - ... offenses. Me voilà tel que je suis, portion nécessairement organisée d'une matière éternelle et nécessaire, ou, peut-être, ta créature. Mais si je suis bienfaisant et bon, qu'importe à mes semblables que ce soit par un bonheur d'organisation, par des actes libres de ma volonté, ou par le secours de ta grâce?
Page 132 - Diderot , je demanderai , indépendamment de tout ce que vous allez entendre, s'il n'a pas donné le résultat général de sa doctrine dans ces deux vers qui en sont comme le couronnement: Et des boyaux du dernier prêtre Serrons le cou du dernier roi.
Page 59 - ... gros que comme une hirondelle, qu'à égorger un bœuf de leurs mains. Si nous avons de la compassion pour un cheval qui souffre, et si nous écrasons une fourmi sans aucun scrupule, n'est-ce pas le même principe qui nous détermine?