Progressive Pronouncing French ReaderT. Ellwood Zell, 1873 - 288 pages |
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... sentiments pendant que vous êtes dans un âge où vous devez vous laisser conduire . Jë ne dis pås que vous ne lisiez quelquëfois des choses qui puissent vous divertir l ' ésprit , ết vous voyez quë je vous ai mis moi - même entre les ...
... sentiments pendant que vous êtes dans un âge où vous devez vous laisser conduire . Jë ne dis pås que vous ne lisiez quelquëfois des choses qui puissent vous divertir l ' ésprit , ết vous voyez quë je vous ai mis moi - même entre les ...
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... remplir , et que tout_homme est utile à l'humanité , par cela seul qu'il existe ? Jeune insensé ! s'il te reste av fond du cœur le moindre sentiment de vertu , viens que je t'apprenne à aimer 142 COLLOT'S PROGRESSIVE.
... remplir , et que tout_homme est utile à l'humanité , par cela seul qu'il existe ? Jeune insensé ! s'il te reste av fond du cœur le moindre sentiment de vertu , viens que je t'apprenne à aimer 142 COLLOT'S PROGRESSIVE.
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A. G. Collot. sentiment de vertu , viens que je t'apprenne à aimer la vie Chaque fois que tu seras tenté d'en sortir , dis en toi même : Que je fasse encore une bonne action avant de mourir . Puis , va chercher quelque indigent_à ...
A. G. Collot. sentiment de vertu , viens que je t'apprenne à aimer la vie Chaque fois que tu seras tenté d'en sortir , dis en toi même : Que je fasse encore une bonne action avant de mourir . Puis , va chercher quelque indigent_à ...
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... sentiment pour rien de ce qu'ils voient de délicieux_au dehors : ils sont tels que les dieux qui , rassasiés de nectar et d'ambroisie , ne daigneraient pas se nourrir de viandes grossières qu'on leur présenterait à la table la plus_ ...
... sentiment pour rien de ce qu'ils voient de délicieux_au dehors : ils sont tels que les dieux qui , rassasiés de nectar et d'ambroisie , ne daigneraient pas se nourrir de viandes grossières qu'on leur présenterait à la table la plus_ ...
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... sentiment inexprimable de plaisir . Je crus d'abord que tous ces objets étaient_en moi , et faisaient partie de moi - même . Je m ' affermissais dans cette pensée naissante , lorsque je tournai les yeux vers l'astre de la lumière ; son ...
... sentiment inexprimable de plaisir . Je crus d'abord que tous ces objets étaient_en moi , et faisaient partie de moi - même . Je m ' affermissais dans cette pensée naissante , lorsque je tournai les yeux vers l'astre de la lumière ; son ...
Common terms and phrases
âge aime Alzire âme Apollon ATHALIE beau biển brebis cher chironomes chose ciel cœur consonants corps côté cruel dans_un Dieu dieux Diphile douleur doux EGISTHE Emilie English word esprit ết face field first fable fleurs followed fraisier French language gardes-françaises gite gloire good goût GUSMAN héros heureux his lesson hommes Interlinear j'ai j'avais jamais jeûne jour l'esprit l'homme Lagarale long-temps Madame MAHOMET main malheureux Marc-Aurèle MEROPE mille MONTEZE mood mort mortels mourir mûr nature nuit Oronte pair parle pås pensée pênser père peuple pique placed plaire plaisir plaisirs pleurs poëme poëte preceded Pronounce pronounced quë quelquefois Reader regards rien robe Rules of Pronunciation sage sais sang sẽ semble sent serait seul silent singe Socrate songe sounded souvent spelled student syllabe terre tête tremblante TUFTS COLLEGE vertu voix Voltaire voûte Vowel Sounds word work yeux Zamore ZOPIRE
Popular passages
Page 211 - C'est par là que les rois sont semblables aux dieux. Du magnanime Henri qu'il contemple la vie : Dès qu'il put se venger, il en perdit l'envie. Inspirez à Louis cette même douceur : La plus belle victoire est de vaincre son cœur. Oronte est à présent un objet de clémence : S'il a cru les conseils d'une aveugle puissance , II est assez puni par son sort rigoureux ; Et c'est être innocent que d'être malheureux.
Page 249 - Aimez donc la raison : que toujours vos écrits Empruntent d'elle seule et leur lustre et leur prix.
Page 156 - ... se mouche avec grand bruit; il crache fort loin et il éternue fort haut; il dort le jour, il dort la nuit, et profondément; il ronfle en compagnie. Il occupe à table et à la promenade plus de place qu'un autre; il tient le milieu en se promenant avec ses égaux...
Page 236 - Tremble, m'at-elle dit, fille digne de moi. Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi. Je te plains de tomber dans ses mains redoutables, Ma fille." En achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser, Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser ; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de...
Page 222 - S'arrête devant vous... mais pour vous imiter. Je meurs; le voile tombe : un nouveau jour m'éclaire : Je ne me suis connu qu'au bout de ma carrière. J'ai fait, jusqu'au moment qui me plonge au cercueil, Gémir l'humanité du poids de mon orgueil.
Page 215 - L'émeraude, l'azur, le pourpre, le rubis, Sont l'immortel tissu dont brillent ses habits. Chacun de ses rayons, dans sa substance pure Porte en soi les couleurs dont se peint la nature ; Et confondus ensemble ils éclairent nos yeux, Ils animent le monde, ils emplissent les cieux.
Page 237 - J'ai senti tout à coup un homicide acier Que le traître en mon sein a plongé tout entier. De tant d'objets divers le bizarre assemblage Peut-être du hasard vous paraît un ouvrage. Moi-même quelque temps, honteuse de ma peur, Je l'ai pris pour l'effet d'une sombre vapeur. Mais de ce souvenir mon âme possédée A deux fois en dormant revu la même idée ; Deux fois mes tristes yeux se sont vu retracer Ce même enfant toujours tout prêt à me percer.
Page 216 - Comètes, que l'on craint à l'égal du tonnerre, Cessez d'épouvanter les peuples de la terre : Dans une ellipse immense achevez votre cours ; Remontez, descendez près de l'astre des jours , Lancez vos feux, volez, et, revenant sans cesse, Des mondes épuisés ranimez la vieillesse. Et toi...
Page 225 - J'apporte un joug plus noble aux nations entières : J'abolis les faux dieux, et mon culte épuré De ma grandeur naissante est le premier degré. Ne me reproche point de tromper ma patrie ; Je détruis sa faiblesse et son idolâtrie : Sous un roi, sous un dieu, je viens la réunir ; Et, pour la rendre illustre, il la faut asservir.
Page 277 - Je sais qu'un noble esprit peut, sans honte et sans crime, Tirer de son travail un tribut légitime ; Mais je ne puis souffrir ces auteurs renommés, Qui, dégoûtés de gloire et d'argent affamés, Mettent leur Apollon aux gages d'un libraire Et font d'un art divin un métier mercenaire.