Progressive Pronouncing French ReaderT. Ellwood Zell, 1873 - 288 pages |
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... Romains , que vous en semble ? Est - il un peuple qui rassemble plus de grandeur , plus de falts éclatants ? Dans les arts et dans du , mûr ; jeune , jeûne ; sous , 46 COLLOT'S PROGRESSIVE XXIX Le Hibou, le Chat, l' Oie et le Rat Fable.
... Romains , que vous en semble ? Est - il un peuple qui rassemble plus de grandeur , plus de falts éclatants ? Dans les arts et dans du , mûr ; jeune , jeûne ; sous , 46 COLLOT'S PROGRESSIVE XXIX Le Hibou, le Chat, l' Oie et le Rat Fable.
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... semble quë jë ne vous_aì pås_asséz_ém- brassée en partant ; je ne vous_al point_ assez dit combien je suis contente de votre tendresse ; je ne vous a point assez recom- mandée à monsieur de Grignan , jë ne l ' ai point assez remercié de ...
... semble quë jë ne vous_aì pås_asséz_ém- brassée en partant ; je ne vous_al point_ assez dit combien je suis contente de votre tendresse ; je ne vous a point assez recom- mandée à monsieur de Grignan , jë ne l ' ai point assez remercié de ...
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... semble qu'on n'écrive plus qu'en énigmes . Rien n'est simple , tou _st_affecté ; on s'éloigne en tout de la na- ture , on a le malheur de vouloir mieux faire que nos maîtres . Těnéz - vous - én . Mademoiselle , à tout ce qui du , mûr ...
... semble qu'on n'écrive plus qu'en énigmes . Rien n'est simple , tou _st_affecté ; on s'éloigne en tout de la na- ture , on a le malheur de vouloir mieux faire que nos maîtres . Těnéz - vous - én . Mademoiselle , à tout ce qui du , mûr ...
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... semble que vous n'ayez plus aucun goût , · quoique vous soyez témoin du véritable plaisir que j'y prênds préférablement à toute autre chose . Croyez - moi , quand vous saurez parlér de comédies et de romans , vous n'ên serez guère plus ...
... semble que vous n'ayez plus aucun goût , · quoique vous soyez témoin du véritable plaisir que j'y prênds préférablement à toute autre chose . Croyez - moi , quand vous saurez parlér de comédies et de romans , vous n'ên serez guère plus ...
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... semble , si ce n'est peut - être En famille aux visites de nos chers parêns ; eh- biển , depuis que je ne vous vois plus je bâille du matin au soir . La nature , vous le savez . face , âge ; était , bat , bar ; PRONOUNCING FRENCH READER ...
... semble , si ce n'est peut - être En famille aux visites de nos chers parêns ; eh- biển , depuis que je ne vous vois plus je bâille du matin au soir . La nature , vous le savez . face , âge ; était , bat , bar ; PRONOUNCING FRENCH READER ...
Common terms and phrases
âge aime Alzire âme Apollon ATHALIE beau biển brebis cher chironomes chose ciel cœur consonants corps côté cruel dans_un Dieu dieux Diphile douleur doux EGISTHE Emilie English word esprit ết face field first fable fleurs followed fraisier French language gardes-françaises gite gloire good goût GUSMAN héros heureux his lesson hommes Interlinear j'ai j'avais jamais jeûne jour l'esprit l'homme Lagarale long-temps Madame MAHOMET main malheureux Marc-Aurèle MEROPE mille MONTEZE mood mort mortels mourir mûr nature nuit Oronte pair parle pås pensée pênser père peuple pique placed plaire plaisir plaisirs pleurs poëme poëte preceded Pronounce pronounced quë quelquefois Reader regards rien robe Rules of Pronunciation sage sais sang sẽ semble sent serait seul silent singe Socrate songe sounded souvent spelled student syllabe terre tête tremblante TUFTS COLLEGE vertu voix Voltaire voûte Vowel Sounds word work yeux Zamore ZOPIRE
Popular passages
Page 211 - C'est par là que les rois sont semblables aux dieux. Du magnanime Henri qu'il contemple la vie : Dès qu'il put se venger, il en perdit l'envie. Inspirez à Louis cette même douceur : La plus belle victoire est de vaincre son cœur. Oronte est à présent un objet de clémence : S'il a cru les conseils d'une aveugle puissance , II est assez puni par son sort rigoureux ; Et c'est être innocent que d'être malheureux.
Page 249 - Aimez donc la raison : que toujours vos écrits Empruntent d'elle seule et leur lustre et leur prix.
Page 156 - ... se mouche avec grand bruit; il crache fort loin et il éternue fort haut; il dort le jour, il dort la nuit, et profondément; il ronfle en compagnie. Il occupe à table et à la promenade plus de place qu'un autre; il tient le milieu en se promenant avec ses égaux...
Page 236 - Tremble, m'at-elle dit, fille digne de moi. Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi. Je te plains de tomber dans ses mains redoutables, Ma fille." En achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser, Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser ; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de...
Page 222 - S'arrête devant vous... mais pour vous imiter. Je meurs; le voile tombe : un nouveau jour m'éclaire : Je ne me suis connu qu'au bout de ma carrière. J'ai fait, jusqu'au moment qui me plonge au cercueil, Gémir l'humanité du poids de mon orgueil.
Page 215 - L'émeraude, l'azur, le pourpre, le rubis, Sont l'immortel tissu dont brillent ses habits. Chacun de ses rayons, dans sa substance pure Porte en soi les couleurs dont se peint la nature ; Et confondus ensemble ils éclairent nos yeux, Ils animent le monde, ils emplissent les cieux.
Page 237 - J'ai senti tout à coup un homicide acier Que le traître en mon sein a plongé tout entier. De tant d'objets divers le bizarre assemblage Peut-être du hasard vous paraît un ouvrage. Moi-même quelque temps, honteuse de ma peur, Je l'ai pris pour l'effet d'une sombre vapeur. Mais de ce souvenir mon âme possédée A deux fois en dormant revu la même idée ; Deux fois mes tristes yeux se sont vu retracer Ce même enfant toujours tout prêt à me percer.
Page 216 - Comètes, que l'on craint à l'égal du tonnerre, Cessez d'épouvanter les peuples de la terre : Dans une ellipse immense achevez votre cours ; Remontez, descendez près de l'astre des jours , Lancez vos feux, volez, et, revenant sans cesse, Des mondes épuisés ranimez la vieillesse. Et toi...
Page 225 - J'apporte un joug plus noble aux nations entières : J'abolis les faux dieux, et mon culte épuré De ma grandeur naissante est le premier degré. Ne me reproche point de tromper ma patrie ; Je détruis sa faiblesse et son idolâtrie : Sous un roi, sous un dieu, je viens la réunir ; Et, pour la rendre illustre, il la faut asservir.
Page 277 - Je sais qu'un noble esprit peut, sans honte et sans crime, Tirer de son travail un tribut légitime ; Mais je ne puis souffrir ces auteurs renommés, Qui, dégoûtés de gloire et d'argent affamés, Mettent leur Apollon aux gages d'un libraire Et font d'un art divin un métier mercenaire.