Progressive Pronouncing French ReaderT. Ellwood Zell, 1873 - 288 pages |
From inside the book
Results 1-5 of 56
Page ix
... Homme 90 Songe de Marc - Aurèle ........ Thomas 92 Jugements prononcés en Egypte sur les Thomas 94 Origine et Mobiles de l ' Industrie Humaine Moyen de connaître les Grands Effets des Variétés de la Nature . B. de St - Pierre 100 87 ...
... Homme 90 Songe de Marc - Aurèle ........ Thomas 92 Jugements prononcés en Egypte sur les Thomas 94 Origine et Mobiles de l ' Industrie Humaine Moyen de connaître les Grands Effets des Variétés de la Nature . B. de St - Pierre 100 87 ...
Page x
... Homme contre celui de la Nature . Bern . de Saint - Pierre 111 Lever du Soleil Les Ruines de Palmyre ........ Aspect ... Hommes Vertueux dans les Fénélon 143 Poug ens 146 LXXV . Discours d ' Archidamus ax Lacédémo- niens ..... X CONTENTS .
... Homme contre celui de la Nature . Bern . de Saint - Pierre 111 Lever du Soleil Les Ruines de Palmyre ........ Aspect ... Hommes Vertueux dans les Fénélon 143 Poug ens 146 LXXV . Discours d ' Archidamus ax Lacédémo- niens ..... X CONTENTS .
Page xi
... Homme après la Voltaire 175 Anonyme 176 Barthélemy 178 Barthélemy 181 Bernardin de Saint - Pierre 185 Buffon 190 Création XCII . УСІІІ . XCIV . ... XCV SELECTIONS IN POETRY PART IV . OBSERVATIONS PRÉLIMINAIRES 196 L'Aveugle et le ...
... Homme après la Voltaire 175 Anonyme 176 Barthélemy 178 Barthélemy 181 Bernardin de Saint - Pierre 185 Buffon 190 Création XCII . УСІІІ . XCIV . ... XCV SELECTIONS IN POETRY PART IV . OBSERVATIONS PRÉLIMINAIRES 196 L'Aveugle et le ...
Page 28
... homme . Certainement ! répondit celui - ci . Et lequel ? - La brebis ; car sa - laine m'est nécessaire , tandis que ton miel m'est seulement agréable . D'ailleurs la brebis me donne sa laine sans la moindre difficulté ; mais quand tu me ...
... homme . Certainement ! répondit celui - ci . Et lequel ? - La brebis ; car sa - laine m'est nécessaire , tandis que ton miel m'est seulement agréable . D'ailleurs la brebis me donne sa laine sans la moindre difficulté ; mais quand tu me ...
Page 38
... homme , tu lui es toujours soumis_ế ! fidèle ; pourtant tu reçois souvent des coups ét quelquefois la mort . Moi , je l ' habille tous les_ans , je lui donne du lait et je fume ses champs ; malgré tout cela je vois chaque matin quelqu ...
... homme , tu lui es toujours soumis_ế ! fidèle ; pourtant tu reçois souvent des coups ét quelquefois la mort . Moi , je l ' habille tous les_ans , je lui donne du lait et je fume ses champs ; malgré tout cela je vois chaque matin quelqu ...
Common terms and phrases
âge aime Alzire âme Apollon ATHALIE beau biển brebis cher chironomes chose ciel cœur consonants corps côté cruel dans_un Dieu dieux Diphile douleur doux EGISTHE Emilie English word esprit ết face field first fable fleurs followed fraisier French language gardes-françaises gite gloire good goût GUSMAN héros heureux his lesson hommes Interlinear j'ai j'avais jamais jeûne jour l'esprit l'homme Lagarale long-temps Madame MAHOMET main malheureux Marc-Aurèle MEROPE mille MONTEZE mood mort mortels mourir mûr nature nuit Oronte pair parle pås pensée pênser père peuple pique placed plaire plaisir plaisirs pleurs poëme poëte preceded Pronounce pronounced quë quelquefois Reader regards rien robe Rules of Pronunciation sage sais sang sẽ semble sent serait seul silent singe Socrate songe sounded souvent spelled student syllabe terre tête tremblante TUFTS COLLEGE vertu voix Voltaire voûte Vowel Sounds word work yeux Zamore ZOPIRE
Popular passages
Page 211 - C'est par là que les rois sont semblables aux dieux. Du magnanime Henri qu'il contemple la vie : Dès qu'il put se venger, il en perdit l'envie. Inspirez à Louis cette même douceur : La plus belle victoire est de vaincre son cœur. Oronte est à présent un objet de clémence : S'il a cru les conseils d'une aveugle puissance , II est assez puni par son sort rigoureux ; Et c'est être innocent que d'être malheureux.
Page 249 - Aimez donc la raison : que toujours vos écrits Empruntent d'elle seule et leur lustre et leur prix.
Page 156 - ... se mouche avec grand bruit; il crache fort loin et il éternue fort haut; il dort le jour, il dort la nuit, et profondément; il ronfle en compagnie. Il occupe à table et à la promenade plus de place qu'un autre; il tient le milieu en se promenant avec ses égaux...
Page 236 - Tremble, m'at-elle dit, fille digne de moi. Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi. Je te plains de tomber dans ses mains redoutables, Ma fille." En achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser, Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser ; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de...
Page 222 - S'arrête devant vous... mais pour vous imiter. Je meurs; le voile tombe : un nouveau jour m'éclaire : Je ne me suis connu qu'au bout de ma carrière. J'ai fait, jusqu'au moment qui me plonge au cercueil, Gémir l'humanité du poids de mon orgueil.
Page 215 - L'émeraude, l'azur, le pourpre, le rubis, Sont l'immortel tissu dont brillent ses habits. Chacun de ses rayons, dans sa substance pure Porte en soi les couleurs dont se peint la nature ; Et confondus ensemble ils éclairent nos yeux, Ils animent le monde, ils emplissent les cieux.
Page 237 - J'ai senti tout à coup un homicide acier Que le traître en mon sein a plongé tout entier. De tant d'objets divers le bizarre assemblage Peut-être du hasard vous paraît un ouvrage. Moi-même quelque temps, honteuse de ma peur, Je l'ai pris pour l'effet d'une sombre vapeur. Mais de ce souvenir mon âme possédée A deux fois en dormant revu la même idée ; Deux fois mes tristes yeux se sont vu retracer Ce même enfant toujours tout prêt à me percer.
Page 216 - Comètes, que l'on craint à l'égal du tonnerre, Cessez d'épouvanter les peuples de la terre : Dans une ellipse immense achevez votre cours ; Remontez, descendez près de l'astre des jours , Lancez vos feux, volez, et, revenant sans cesse, Des mondes épuisés ranimez la vieillesse. Et toi...
Page 225 - J'apporte un joug plus noble aux nations entières : J'abolis les faux dieux, et mon culte épuré De ma grandeur naissante est le premier degré. Ne me reproche point de tromper ma patrie ; Je détruis sa faiblesse et son idolâtrie : Sous un roi, sous un dieu, je viens la réunir ; Et, pour la rendre illustre, il la faut asservir.
Page 277 - Je sais qu'un noble esprit peut, sans honte et sans crime, Tirer de son travail un tribut légitime ; Mais je ne puis souffrir ces auteurs renommés, Qui, dégoûtés de gloire et d'argent affamés, Mettent leur Apollon aux gages d'un libraire Et font d'un art divin un métier mercenaire.