Textes classiques de la littérature française, extraits des grands écrivains français, avec notices biographiques et bibliographiques, appréciations littéraires et notes explicatives: recueil servant de complément à l'Histoire de la littérature française et composé d'après les programmes officiels pour l'enseignement secondaire spécial |
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... voit qu'il y aura bataille , lion et léopard , - — - Plus fier il se fait que Il crie aux Français , il s'adresse à Olivier : - « < Sei- gneur compagnon , ami , ne parle pas ainsi ! - L'empereur , qui nous a laissé des Français , Les a ...
... voit qu'il y aura bataille , lion et léopard , - — - Plus fier il se fait que Il crie aux Français , il s'adresse à Olivier : - « < Sei- gneur compagnon , ami , ne parle pas ainsi ! - L'empereur , qui nous a laissé des Français , Les a ...
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... voit que moult ne s'épou vante ; disent plusieurs : « C'est le définement , c'est la fin du siècle present ! » Ils ne le savent , et se trompent : c'est le grand deuil pour la mort de Roland ! D « Quel tableau ! » s'écrie avec raison ...
... voit que moult ne s'épou vante ; disent plusieurs : « C'est le définement , c'est la fin du siècle present ! » Ils ne le savent , et se trompent : c'est le grand deuil pour la mort de Roland ! D « Quel tableau ! » s'écrie avec raison ...
Page 10
... voit que ce conte a fourni à Molière l'idée du Médecin malgré lui . TROUBADOURS . Les Troubadours étaient les poëtes de la France méri- dionale . Ils écrivaient dans la langue d'Oc , ou provençale . Tandis que les compositions des ...
... voit que ce conte a fourni à Molière l'idée du Médecin malgré lui . TROUBADOURS . Les Troubadours étaient les poëtes de la France méri- dionale . Ils écrivaient dans la langue d'Oc , ou provençale . Tandis que les compositions des ...
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... voit l'autre . On suit tous les mouvements de l'armée , toutes les délibérations des chefs : on partage , par une vive sympathie , tous les dangers , toutes les inquiétudes , toutes les joies des pèlerins . Ville- hardouin fait mieux ...
... voit l'autre . On suit tous les mouvements de l'armée , toutes les délibérations des chefs : on partage , par une vive sympathie , tous les dangers , toutes les inquiétudes , toutes les joies des pèlerins . Ville- hardouin fait mieux ...
Page 18
... voit encore , sur la colline qui domine la ville , les ruines de ce bel castel de Joinville , que le sénéchal avait si fort au cour . Voir , pour l'appréciation des Mémoires du sire de Joinville , l'Histoire de la Littérature française ...
... voit encore , sur la colline qui domine la ville , les ruines de ce bel castel de Joinville , que le sénéchal avait si fort au cour . Voir , pour l'appréciation des Mémoires du sire de Joinville , l'Histoire de la Littérature française ...
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Common terms and phrases
ABNER acte AGAMEMNON ALCESTE amour Arcas ARMANDE ATHALIE avez avoient avoit bataille beau BÉLISE Boileau Bossuet Britannicus BURRHUS c'étoit Calchas CÉLIMÈNE cher chevaux CHIMÈNE chose CHRYSALE ciel Cinna CLYTEMNESTRE cœur comte Corneille coup crime DIÈGUE Dieu dieux dire discours disoit donner douleur enfin ennemis esprit estoit étoient étoit fabl faisoit Fénelon fille fils FLÈCHE frère gens gloire Grecs guerre HARPAGON héros homme HORACE j'ai jamais Jehan Jehan Froissart JOAD JOSABETH jour laisse langue Louis Louis XIV madame main MAÎTRE JACQUES malheur Mardochée Molière monde Monseigneur monsieur mort mourir NARCISSE NÉARQUE Néoptolème NÉRON ORONTE palandries parler passé pensée père peuple PHILAMINTE PHILINTE Philoctète pleurs poëte POLYEUCTE pouvoit prince qu'à qu'un raison rien RODRIGUE rois Romains Rome sage saint sais sang satire SCÈNE seigneur seroit seul siècle Sire soin sort Télémaque terre TRISSOTIN triste Ulysse VADIUS VALÈRE veut veux voilà vois yeux
Popular passages
Page 56 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ; On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos Rois. De murmurer contre elle et perdre patience Il est mal à propos; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
Page 260 - Ah ! c'est moi ! Mon esprit est troublé, et j'ignore où je suis, qui je suis, et ce que je fais. Hélas ! mon pauvre argent ! mon pauvre argent ! mon cher ami ! on m'a privé de toi ; et, puisque tu m'es enlevé, j'ai perdu mon support, ma consolation, ma joie : tout est fini pour moi, et je n'ai plus que faire au monde. Sans toi, il m'est impossible de vivre. C'en est fait : je n'en puis plus ; je me meurs ; je suis mort ; je suis enterré.
Page 233 - Quel besoin si pressant avez-vous de rimer? Et qui diantre vous pousse à vous faire imprimer? Si l'on peut pardonner l'essor d'un mauvais livre, Ce n'est qu'aux malheureux qui composent pour vivre. Croyez-moi, résistez à vos tentations. Dérobez au public ces occupations ; Et n'allez point quitter, de quoi que l'on vous somme, Le nom que, dans la cour, vous avez d'honnête homme, Pour prendre de la main d'un avide imprimeur Celui de ridicule et misérable auteur.
Page 275 - Il n'est pas bien honnête, et pour beaucoup de causes ' Qu'une femme étudie et sache tant de choses. Former aux bonnes mœurs l'esprit de ses enfants, Faire aller son ménage, avoir l'œil sur ses gens', Et régler la dépense avec économie, Doit être son étude et sa philosophie.
Page 441 - Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle ; c'est-à-dire d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention , et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute.
Page 389 - Plus d'amour; partant, plus de joie. Le lion tint conseil, et dit : « Mes chers amis, Je crois que le ciel a permis Pour nos péchés cette infortune. Que le plus coupable de nous Se sacrifie aux traits du céleste courroux; Peut-être il obtiendra la guérison commune.
Page 390 - Que m'avaient-ils fait ? Nulle offense ; Même il m'est arrivé quelquefois de manger Le berger. Je me dévouerai donc, s'il le faut ; mais je pense Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi ; Car on doit souhaiter, selon toute justice, Que le plus coupable périsse.
Page 337 - II n'est point de serpent ni de monstre odieux, Qui, par l'art imité, ne puisse plaire aux yeux : D'un pinceau délicat l'artifice agréable Du plus affreux objet fait un objet aimable.
Page 261 - Hé ! de quoi est-ce qu'on parle là ? de celui qui m'a dérobé? Quel bruit fait-on là-haut? Est-ce mon voleur qui y est? De grâce, si l'on sait des nouvelles de mon voleur, je supplie que l'on m'en dise-. N'est-il point caché là parmi vous? Ils me regardent tous, et se mettent à rire. Vous verrez qu'ils ont part, sans doute, au vol que l'on m'a fait. Allons, vite, des commissaires, des archers, des prévôts, des juges, des gênes, des potences, et des bourreaux ! Je veux faire pendre tout...
Page 338 - En vain vous étalez une scène savante : Vos froids raisonnements ne feront qu'attiédir Un spectateur, toujours paresseux d'applaudir, Et qui, des vains efforts de votre rhétorique Justement fatigué, s'endort ou vous critique. Le secret est d'abord de plaire et de toucher : Inventez des ressorts qui puissent m'attacher.