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Joreph Francois Duche', geb. 1668, geft. 1704, get hårt zwar nicht zu den franzdfischen Dichtern vont erften Range; indeß verdienen manche Lyrische, und einige lyrischz dramatische Stücke von ihm noch immer Aufinerksamkeit und Beifall. Die meisten Hymnes, Cantiques und Histoires Pienfes, die man von ihm hat, und darunter freilich manche mittelmäßige find, schrieb er für die kidfterliche Erziehungs anstalt zu St. Cnr. Eben dafür war auch sein bekanntes Trauerspiel Abfalon bestimmt, das sich ziemlich lange auf der Bühne erhielt. Der ältere Kouffeau war Duches Freund, und hat eine seiner Oden an ihn gerichtet.

Dude.

Un son égal au tonnerre,
Anime l'airain fatal
Qui donne à toute la terre
Le redoutable signal.
A cette voix menaçantë
La Mort même obeisfante
Ouvre son avare sein;
Et je vois, par tout le monde,
D'une poussiere féconde
Renaître le genre humain.

Parmi cet immenfe nombre
D'hommes tremblans, éperdus,
Régne une tristesse sombre;
- Tous les

rangs

font confondus.
Déchus de leurs avantages,
Les Rois, les Héros, les Sages
Reconnoissent aujourd'hui,
Qu'esclaves d'un même Maître,
Au moment qu'il veut paroître,
Tout l'éclipse devant lui.

Pour annoncer sa venue,
Le Ciel f'embrase d'éclairs;
Je l'apperçois sur la nue
Aslis au milieu des airs,
La Sainteté le couronne
Sa Majesté l'environne,
La foudre part de ses yeux;
Et fur fon front la justice
Menace d'un prompt fupplice
Les Mortels audacieux.