Les écrivains latins de l'empire |
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Page 115
... chant des oiseaux , ni le son de la musique , ni le bruit du feuillage , ni le murmure de la pluie du ciel que , par un contraste , souvenir sans doute de Lucrèce , il entendait sans la sentir , rien ne le pouvait char- mer ; toutes ces ...
... chant des oiseaux , ni le son de la musique , ni le bruit du feuillage , ni le murmure de la pluie du ciel que , par un contraste , souvenir sans doute de Lucrèce , il entendait sans la sentir , rien ne le pouvait char- mer ; toutes ces ...
Page 120
... chants et gracieux , qu'il a consacrés à la fin des Géorgiques : Illo Virgilium me tempore dulcis alebat Parthenope , studiis florentem ignobilis oti . Suivant les conjectures des anciens grammairiens et des savants , 120 VIRGILE .
... chants et gracieux , qu'il a consacrés à la fin des Géorgiques : Illo Virgilium me tempore dulcis alebat Parthenope , studiis florentem ignobilis oti . Suivant les conjectures des anciens grammairiens et des savants , 120 VIRGILE .
Page 121
... chant qui le portaient à étudier et à peindre les se- crets , les beautés et les magnificences de la nature , ́dans l'églogue de Silène , où il résume avec une si heureuse concision , une clarté si vive et si nette , le système de la ...
... chant qui le portaient à étudier et à peindre les se- crets , les beautés et les magnificences de la nature , ́dans l'églogue de Silène , où il résume avec une si heureuse concision , une clarté si vive et si nette , le système de la ...
Page 128
... chant , improvisent à la manière des Italiens mo- dernes , et enfin se proposent des énigmes ; dans l'autre , Mélibée , deux bergers arcadiens , Arcades ambo , se rencontrent sur les rives du Mincio ; ils égayent leur loisir en ...
... chant , improvisent à la manière des Italiens mo- dernes , et enfin se proposent des énigmes ; dans l'autre , Mélibée , deux bergers arcadiens , Arcades ambo , se rencontrent sur les rives du Mincio ; ils égayent leur loisir en ...
Page 129
... chant lyrique , avec ses strophes et ses re- frains , où le désespoir de l'amour et les mystères d'une magie passionnée sont peints avec toute l'ar- deur qui convient à l'ode ? Pollion est un autre poëme tout lyrique , sinon par la ...
... chant lyrique , avec ses strophes et ses re- frains , où le désespoir de l'amour et les mystères d'une magie passionnée sont peints avec toute l'ar- deur qui convient à l'ode ? Pollion est un autre poëme tout lyrique , sinon par la ...
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Common terms and phrases
admirable âme anciens Apulée Asinius Pollion Auguste avaient avant J. C. barreau beauté brillante c'était Cassius Severus Catilina Caton cause César chants charme Cicéron civilisation consul Crassus critique d'Apulée d'Horace d'Ovide dieux dire dit-il Domitien donne éclat écrivains effet églogues éloquence enfin esprit génie Géorgiques gloire goût grec guerre harangues heureux historiens hommes Horace Hortensius jour Jugurtha Juvénal l'âme l'an l'art l'éloquence l'empire l'Énéide l'histoire l'historien l'homme latine lettres liberté littéraire littérature livre lui-même luxe Martial Mécène ment Messala mœurs morale mort naturel Néron orateurs oratoire ouvrages Ovide parle pensée père Pétrone peuple philosophie Platon Pline l'Ancien Pline le Jeune poëme poésie poëte politique Pollion Pompée premier prince profonde Psyché Pudentilla quelquefois quence Quintilien reproche république reste retracer rhéteur rival romaine Rome Salluste satire secret semble sénat Sénèque sentiment seulement sévère siècle d'Auguste stoïcisme style Suétone Tacite Tibère tion Tite Live traité Trajan tribune Trimalchion trouve Varron vérité vices Virgile
Popular passages
Page 109 - Mécénas fut un galant homme : II a dit quelque part : Qu'on me rende impotent, Cul-de-jatte, goutteux, manchot, pourvu qu'en somme Je vive, c'est assez, je suis plus que content.
Page 144 - AT regina gravi iamdudum saucia cura vulnus alit venis, et caeco carpitur igni. Multa viri virtus animo multusque recursat gentis honos, haerent infixi pectore vultus verbaque, nee placidam membris dat cura quietem.
Page 150 - Ils chantent les louanges des dieux, et ils ne font, tous ensemble, qu'une seule voix, une seule pensée , un seul cœur : une même félicité fait comme un flux et reflux dans ces âmes unies.
Page 150 - Le jour n'y finit point, et la nuit avec ses sombres voiles y est inconnue : une lumière pure et douce se répand autour des corps de ces hommes justes, et les environne de ses rayons comme d'un vêtement, Cette lumière n'est point semblable à la lumière sombre qui éclaire les yeux des misérables mortels, et qui n'est que ténèbres ; c'est plutôt une gloire céleste qu'une lumière : elle pénètre plus subtilement les corps les plus épais que les rayons du soleil ne...
Page 317 - Si l'on veut lire l'admirable ouvrage de Tacite sur les mœurs des Germains % on verra que c'est d'eux que les Anglais ont tiré l'idée de leur gouvernement politique. Ce beau système a été trouvé dans les bois.
Page 109 - Debilem facito manu, * Debilem pede, Coxa: Tuber adstrue gibberum, Lubricos quate dentes, Vita dum superest, bene est. Hanc mihi, vel acuta Si sedeam cruce, sustine.
Page 200 - Tu mihi, seu magni superas iam saxa Timavi, sive oram Illyrici legis aequoris (en erit umquam ille dies, mihi cum liceat tua dicere facta? en erit ut liceat totum mihi ferre per orbem sola Sophocleo tua carmina digna cothurno? 10 a te principium, tibi desinam): accipe iussis carmina coepta tuis, atque hanc sine tempora circum inter victrices hederam tibi serpere laurus.
Page 61 - Corneille, à qui Racine l'avait lu, lui dit « qu'il avait un grand talent pour la poésie, mais qu'il n'en avait point pour la tragédie.
Page 98 - Hé bien! défendez-vous au sage De se donner des soins pour le plaisir d'autrui? Cela même est un fruit que je goûte aujourd'hui: J'en puis jouir demain, et quelques jours encore; Je puis enfin compter l'aurore Plus d'une fois sur vos tombeaux.
Page 144 - Sed mihi vel tellus optem prius ima dehiscat, Vel Pater omnipotens adigat me fulmine ad umbras, 25 Pallentes umbras Erebi noctemque profundam, Ante, Pudor, quam te violo, aut tua jura resolvo. Ille meos, primus qui me sibi junxit, amores Abstulit ; ille habeat secum servetque sepulchro.