| Stéphanie Félicité Brulart comtesse de Genlis - 1803 - 282 pages
...lui fît l'application de ces deux vers fameux: * Voltaire. Dictionnaire philosophique, f Diderot. Et ses mains ourdiraient les entrailles du prêtre, Au défaut, d'un cordon pour étrangler les rois *. Aussi, quand Julie, prévoyant le sort funeste du malheureux Louis XVI, montra l'horreur qu'elle... | |
| Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - 1804 - 348 pages
...haine pour les prêtres et pour les princes, qu'il desirait qu'on lui fit l'application de ces deux It ses mains ourdiraient les entrailles du prêtre, Au défaut d'un cordon pour étrangler les- rois, (z) Aussi quand Julie, prévoyant le sort funeste du malheureuxLouis XTI, montra l'horreur qu'elle... | |
| Claude Bernard Petitot - French drama - 1804 - 536 pages
...toujours conséquent dans ses principes, Diderot étoit ennemi de l'autorité ; Et ses mains ourdiroient les entrailles du prêtre, Au défaut d'un cordon, pour étrangler les rois. Ces vers qui lui appartiennent, et qu'on ne soupçonneroit pas d'avoir été faits pour être récités... | |
| 1806 - 686 pages
...comme le texte s'y trouve rétabli dans toute sa pureté, après ces vers : Et ses mains ourdiroient les entrailles du prêtre Au défaut d'un cordon pour étrangler les rois, on lit ceux-ci : Naigeon «ois mon nmi, Scdaine sois mon frère, Bonion* notre rivalité A fjui saura... | |
| Michel Pierre Joseph Picot - Christian literature - 1816 - 748 pages
...composant, le ton de fureur qu'il s'est cru autorisé à prendre dans ce genre de poésie , expliquent, excusent , justifient ces deux vers qui ont révolté un grand nombre d'esprits (i). D'autres po-nscroient , au contraire, que de pareilles images sont (\) Journal J'reonomie poliliqut,... | |
| Denis Diderot - French literature - 1821 - 568 pages
...bois : « La nature n'a fait ni serviteur ni maître ; « Je ne veux ni donner ni recevoir de lois. » Et ses mains ourdiraient les entrailles du prêtre..., Au défaut d'un cordon pour étrangler les rois. Tu pâlis, vil esclave! Être pétri de boue, Quel aveuglement te dévoue Aux communs intérêts de... | |
| Denis Diderot - 1821 - 520 pages
...bois : « La nature n'a fait ni serviteur ni maître ; « Je ne veux ni donner ni recevoir de lois. » Et ses mains ourdiraient les entrailles du prêtre..., Au défaut d'un cordon pour étrangler les rois. Tu pâlis , vil esclave ! Être pétri de boue , Quel aveuglement te dévoue Aux communs intérêts... | |
| Étienne Antoine de Boulogne - Religion and literature - 1827 - 638 pages
...composant, le ton defu» reur qu'il s'est cru autorisé à prendre dans ce genre » de poésie, expliquent, excusent, justifient ces deux » vers qui ont révolté un grand nombre d'esprits. » Grand Dieu! où en sommes -nous donc? Faire ces vers, c'est sans doute une infamie ; mais quel nom... | |
| Paris (France) - 1833 - 450 pages
...: • La nature n'a fait ni serviteur ni maître ; « Je ne veux ni donner ni recevoir de lois. » Et ses mains ourdiraient les entrailles du prêtre, Au défaut d'un cordon pour étrangler les rois. Tu pâlis, vil esclave ! Etre pétri de boue, Quel aveuglement te dévoue Aux communs intérêts de... | |
| George Valentine Cox - English fiction - 1837 - 318 pages
...us take from the great Diderot, as our motto, the precept which he delivers to all free men: ' Que ses mains ourdiraient les entrailles du prêtre, Au défaut d'un cordon, pour étrangler les rois.'" Such were the strains which were addressed by some of the better read and better educated of the Cleons... | |
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