| François Antoine Jean Mazure - 1805 - 96 pages
...» le perdy , je ne fais que traisner languissant , et 5) les plaisirs mesmes qui s'offrent à moy , au lieu » de me consoler , me redoublent le regret...tout ; il me semble » que je lui dérobe sa part. » 11 avait trente ans lorsqu'il perdit son ami. Son père , dont il parle toujours avec une tendre... | |
| 1812 - 578 pages
...fait plus que traîner languissant : il n'a plus de goût aux plaisirs. Ils me redoublent, dit-il , le regret de sa perte. Nous étions à moitié de tout , il me semble que je lui dérobe sa part. Deuil sacré de l'amitié, sainte et inviolable fidélité, qui n'a plus pour objet qu'un souvenir... | |
| Villemain (M.) - Essayists, French - 1812 - 60 pages
...fait plus que traîner languissant : il n'a plus de goût aux plaisirs. Ils nie redoublent , dit-il , le regret de sa perte. Nous étions à moitié de tout, il me semble que je lui dérobe sa part. Deuil sacré de l'amitié, sainte et inviolable fidélité, qui n'a plus pour objet qu'un souvenir... | |
| Marie Jacques Joseph Victorin Fabre - 1812 - 104 pages
...languissant. Les plaisirs qui s'offrent à moi , au lieu de me consoler, me rendent plus amer le regcet de sa perte : nous étions à moitié de tout ; il me semble que je lui dérobe sa part ». Il n'est action ni pensée où son ami ne lui manque. Rien n'affaiblit ses regrets qu'il se plaît... | |
| Étienne de Jouy - France - 1815 - 744 pages
...parce que c'était moi Les plaisirs mêmes , » au lieu de me consoler, me redoublent le re» gret de sa perte; nous étions à moitié de tout; » il...ce que d'autres philosophes ont entendu par ce mot. Addison prononce avec trop d'humeur « que l'amitié des gens du monde rt'est qu'une confédération... | |
| Etienne de Jouy - France - 1815 - 496 pages
...parce que c'était moi — Les plaisirs mêmes , » au lieu de me consoler , me redoublent le re» gret de sa perte; nous étions à moitié de tout, » il...ce que d'autres philosophes ont entendu par ce mot. Addison prononce arec trop d'humeur « que l'amitié des gens du monde n'est qu'une confédération... | |
| Étienne de Jouy - France - 1815 - 428 pages
...lieu de me consoler, me redoublent le re» gret de sa perte ; nous étions à moitié de tout ; « II me semble que je lui dérobe sa part. » Ces quatre...ce que d'autres philosophes ont entendu par ce mot. Addison prononce avec trop d'humeur « que l'amitié des gens du monde n'est qu'une confédération... | |
| Joseph Étienne Jouy - 1815 - 418 pages
...lieu de me consoler, me redoublent le re» gret de sa perte ; nous étions à moitié de tout ; » II me semble que je lui dérobe sa part. » Ces quatre...ce que d'autres philosophes ont entendu par ce mot. Addison prononce avec trop d'humeur « que l'amitié des gens du monde n'est qu'une confédération... | |
| Étienne de Jouy - 1815 - 420 pages
...lieu de me consoler, me redoublent le re» gret de sa perte ; nous étions à moitié de tout ; » II me semble que je lui dérobe sa part. » Ces quatre...ce que d'autres philosophes ont entendu par ce mot. Addison. prononce avec trop d'humeur « que l'amitié des gens du monde n'est qu'une confédération... | |
| 1824 - 634 pages
...assez heureusement. Montaigne , donnant une larme à la mémoire de la Boétie , sécrie : Les plaisirs me redoublent le regret de sa perte. Nous étions...de tout , il me semble que je lui dérobe sa part. M. SaintProsper dit: «En amitié on ne donne pas, on partage. » II emprunte aussi des pensées à... | |
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