La Germanie |
From inside the book
Results 1-5 of 56
Page i
... barbares avec complaisance , il célèbre leurs défaites et se réjouit de leurs discordes mais Tacite aimant sa patrie comme les premiers Romains l'avaient aimée , y voulait rappeler les vertus qui fon- dèrent sa puissance , et la ramener ...
... barbares avec complaisance , il célèbre leurs défaites et se réjouit de leurs discordes mais Tacite aimant sa patrie comme les premiers Romains l'avaient aimée , y voulait rappeler les vertus qui fon- dèrent sa puissance , et la ramener ...
Page v
... barbares , qui chaque jour menaçaient , pres- saient , assiégeaient les vastes frontières de leur empire ; ils y trouvèrent aussi la satire de leurs déréglemens ; à chaque phrase le reproche ressort , pour ainsi dire , et le moraliste ...
... barbares , qui chaque jour menaçaient , pres- saient , assiégeaient les vastes frontières de leur empire ; ils y trouvèrent aussi la satire de leurs déréglemens ; à chaque phrase le reproche ressort , pour ainsi dire , et le moraliste ...
Page vi
... barbares ne semblaient plus que des objets de conversation et d'ancien souvenir ; les maximes d'état étaient mises en oubli , et non - seulement Rome avait un maître absolu , mais une femme osait s'asseoir sur le trône , à côté de l ...
... barbares ne semblaient plus que des objets de conversation et d'ancien souvenir ; les maximes d'état étaient mises en oubli , et non - seulement Rome avait un maître absolu , mais une femme osait s'asseoir sur le trône , à côté de l ...
Page xii
... barbares , renfermés dans des forteresses , portaient aux environs l'effroi par leurs rapines et leur férocité . On institua la chevalerie ; toutes ses règles furent puisées dans les usages des Germains ; et c'est encore dans l'ouvrage ...
... barbares , renfermés dans des forteresses , portaient aux environs l'effroi par leurs rapines et leur férocité . On institua la chevalerie ; toutes ses règles furent puisées dans les usages des Germains ; et c'est encore dans l'ouvrage ...
Page xiv
... bar- bares que Catherine dut le trône des czars , et Elizabeth celui de la Grande - Bretagne . Tacite ne parle qu'une seule fois des pontifes ger- mains , et déjà on voit toute leur influence s'établir avec les vainqueurs . Les prêtres ...
... bar- bares que Catherine dut le trône des czars , et Elizabeth celui de la Grande - Bretagne . Tacite ne parle qu'une seule fois des pontifes ger- mains , et déjà on voit toute leur influence s'établir avec les vainqueurs . Les prêtres ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
anciens apud armées armes assemblées avaient barbares BAST Béroald Boïens bouclier Brotier Bructères CAPUT Cattes César Chamaves CHAPITRE Chauques chefs Chérusques chevaliers cheveux Cimbres cité n. c. combat comtes d'Hummel DELAM dieux Drusus ducs éditeurs de Deux-Ponts éditions enfans esclaves Espr Esprit des lois femmes forêts framée Frisons GALL Gaule Gaulois Germains Germaniæ Germanorum Germanos Gothones Goths guerre habitans Hénault Hermundures Hist hommes libres ibid inter Juste-Lipse Kappius porte l'édition de Rome l'Océan LABLETT leçon loi salique Lygiens maison Malte-Brun manuscrit d'Arundel manuscrit de Longolius manuscrit de Zurich Marcomans ment mœurs nation NOUV NOUVEAU COMMENTAIRE Nuremberg paix parens pays Peucins peuples PHIL Pichena Pinkerton portent présens Puffendorf Puteolanus quæ quam quod rent Rhagius Rhenanus Rhin rois Romains Sarmates Saterland Saxons Scythes seulement sols Spire Suèves Suiones Tacite Tenctères terre texte de Kappius tion TRAD trouve Ubiens usage Usipiens VIII Voyage Wisigoths XXXVII Zurich porte
Popular passages
Page 81 - Quotiens bella non ineunt, non multum venatibus, plus per otium transigunt, dediti somno ciboque, fortissimus quisque ac bellicosissimus nihil agens, delegata domus et penatium et agrorum cura feminis senibusque et infirmissimo cuique ex familia : ipsi hebent ; mira diversitate naturae, cum iidem homines sic ament inertiam et oderint quietem.
Page 96 - ... dotem non uxor marito, sed uxori maritus offert, intersunt parentes et propinqui ac muñera probant, muñera non ad delicias muliebres quaesita nec quibus nova nupta comatur, sed boves et frenatum equum et scutum cum framea gladioque.
Page 138 - C'est un caractère particulier de ces lois des Barbares, qu'elles ne furent point attachées à un certain territoire : le Franc étoit jugé par la loi des Francs, l'Allemand par la loi des Allemands, le Bourguignon par la loi des Bourguignons, le Romain par la loi romaine...
Page 135 - Agri pro numero cultorum ab universis in vices occupantur, quos mox inter se secundum dignationem partiuntur : facilitatem partiendi camporum spatia praestant. Arva per annos mutant : et superest ager ; nec enim cum ubertate et amplitudine soli labore contendunt, ut pomaria conserant et prata separent et hortos rigent : sola terrae seges imperatur.
Page 83 - Mos est civitatibus ultro ac viritim conferre principibus vel armentorum vel frugum, quod pro honore acceptum, etiam necessitatibus subvenit.
Page 67 - Nihil autem neque publicae neque privatae rei nisi armati agunt. Sed arma sumere non ante cuiquam moris quam civitas suffecturum probaverit. Tum in ipso concilio vel principum aliquis vel pater vel propinqui scuto frameaque iuvenem ornant.
Page 65 - Eliguntur in iisdem conciliis et principes, qui jura per pagos vicosque reddunt. Centeni singulis ex plebe comites, consilium simul et auctoritas, adsunt.
Page 75 - Illum defendere, tueri, sua quoque fortia facta gloriae ejus assignare, praecipuum sacramentum est. Principes pro victoria pugnant; comites pro principe. Si civitas, in qua orti sunt, longa pace et otio torpeat plerique nobilium...
Page 11 - Ceterum Germaniae vocabulum recens et nuper additum, quoniam, qui primi Rhenum transgressi Gallos expulerint, ac nunc Tungri, tune Germani vocati sint. Ita nationis nomen non gentis evaluisse paulatim, ut omnes primum a victore ob metum, mox a se ipsis invento nomine Germani vocarentur.
Page 45 - Presque tous les peuples policés habitent dans des maisons. De là est venue naturellement l'idée de bâtir à Dieu une maison où ils puissent l'adorer, et l'aller chercher dans leurs craintes ou leurs espérances. En effet , rien n'est plus consolant pour les hommes qu'un lieu où ils trouvent la Divinité plus présente , et où tous ensemble ils font parler leur foiblesse et leur misère.