Etudes de littérature ancienne & étrangeère |
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... vrai pour nous , peut - il être bon pour traduire Hérodote ? Sans doute la langue courtisanesque du grand siècle , quoiqu'elle soit assez fière dans Pascal , dans Corneille et dans Bossuet , n'est pas très - conforme aux mœurs du moyen ...
... vrai pour nous , peut - il être bon pour traduire Hérodote ? Sans doute la langue courtisanesque du grand siècle , quoiqu'elle soit assez fière dans Pascal , dans Corneille et dans Bossuet , n'est pas très - conforme aux mœurs du moyen ...
Page 21
... par- ticulier du poëte . C'est une abondance d'images fortes et gracieuses , une sensibilité , toute matérialiste il est vrai , mais touchante et expressive . On a dit , pour rabaisser Lucrèce , qu'ayant à SUR LA NATURE DES CHOSES . 21.
... par- ticulier du poëte . C'est une abondance d'images fortes et gracieuses , une sensibilité , toute matérialiste il est vrai , mais touchante et expressive . On a dit , pour rabaisser Lucrèce , qu'ayant à SUR LA NATURE DES CHOSES . 21.
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... vrais prin- cipes du gouvernement ; et dès les premiers jours de son consulat , il attaqua le tribun Rullus , qui , par le projet d'une nouvelle loi agraire , confiait à des com- missaires un pouvoir alarmant pour la liberté . La ...
... vrais prin- cipes du gouvernement ; et dès les premiers jours de son consulat , il attaqua le tribun Rullus , qui , par le projet d'une nouvelle loi agraire , confiait à des com- missaires un pouvoir alarmant pour la liberté . La ...
Page 43
... vrai que , sous le magnanime dictateur , on pou- vait beaucoup oser impunément ; et d'ailleurs cette hardiesse consolait l'amour - propre du républicain , plus qu'elle n'était utile à la république ; mais le mé- contentement de Cicéron ...
... vrai que , sous le magnanime dictateur , on pou- vait beaucoup oser impunément ; et d'ailleurs cette hardiesse consolait l'amour - propre du républicain , plus qu'elle n'était utile à la république ; mais le mé- contentement de Cicéron ...
Page 48
... vrai , d'en être le constant imitateur . Pline l'Ancien célèbre avec transport les prodiges de cette même éloquence . Enfin les Grecs , qui goûtaient peu la littérature de leurs maîtres , pla- cèrent l'orateur romain à côté de ...
... vrai , d'en être le constant imitateur . Pline l'Ancien célèbre avec transport les prodiges de cette même éloquence . Enfin les Grecs , qui goûtaient peu la littérature de leurs maîtres , pla- cèrent l'orateur romain à côté de ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 247 - What needs my Shakespeare for his honoured bones, The labour of an age in piled stones, Or that his hallowed relics should be hid Under a star-ypointing pyramid? Dear son of memory, great heir of Fame, What need'st thou such weak witness of thy name? Thou in our wonder and astonishment Hast built thyself a livelong monument.
Page 229 - O, for my sake do you with Fortune chide, The guilty goddess of my harmful deeds, That did not better for my life provide Than public means which public manners breeds. Thence comes it that my name receives a brand, And almost thence my nature is subdued To what it works in, like the dyer's hand.
Page 240 - Sweet Swan of Avon ! what a sight it were To see thee in our waters yet appear, And make those flights upon the banks of Thames, That so did take Eliza, and our James...
Page 232 - Not by our feeling, but by others' seeing : For why should others' false adulterate eyes Give salutation to my sportive blood ? Or on my frailties why are frailer spies, Which in their wills count bad what I think good ? No, I am that I am ; and they that level At my abuses, reckon up their own : I may be straight, though they themselves be bevel. By their rank thoughts my deeds must not be shown ; Unless this general evil they maintain, All men are bad, and in their badness reign.
Page 231 - Though I, once gone, to all the world must die : The earth can yield me but a common grave. When you entombed in men's eyes shall lie. Your monument shall be my gentle verse, Which eyes not yet created shall o'er-read ; And tongues to be, your being shall rehearse, When all the breathers of this world are dead ; You still shall live (such virtue hath my pen) Where breath most breathes, — even in the mouths of men.
Page 247 - For whilst, to the shame of slow-endeavouring art, Thy easy numbers flow, and that each heart • Hath, from the leaves of thy unvalued book, Those Delphic lines with deep impression took, Then thou, our fancy of itself bereaving, Dost make us marble, with too much conceiving ; And, so sepulchred in such pomp dost lie, That kings for such a tomb would wish to die.
Page 155 - ... fictions d'aventures amoureuses , écrites en prose avec art , pour le plaisir et l'instruction des lecteurs.
Page 24 - Quoiqu'on retrouve dans plusieurs de ses vers l'àpreté des sons étrusques , ne fait-il pas entendre souvent une harmonie digne de Virgile lui-même? Peu de poètes ont réuni à un plus haut degré ces deux forces dont se compose le génie , la méditation qui pénètre jusqu'au fond des sentiments ou des idées dont elle s'enrichit lentement , et cette inspiration qui s'éveille à la présence des grands objets.
Page 21 - ... à sa mauvaise philosophie. Au premier abord , les vers de Lucrèce semblent rudes et négligés ; les détails techniques abondent ; les paroles sont quelquefois languissantes et prosaïques. Mais qu'on le lise avec soin, on y sentira une expression pleine de vie, qui non-seulement anime de beaux épisodes et de riches descriptions , mais qui souvent s'introduit même dans l'argumentation la plus sèche, et la couvre de fleurs inattendues. C'est une richesse qui tient à la fois aux origines...
Page 362 - ... égale aux luttes de la vie politique ; mais dans la partie la plus élevée des lettres, dans l'imagination et la poésie, le nouvel âge britannique n'avait encore produit aucune de ces œuvres qui représentent une époque et l'immortalisent, aucun de ces génies...