Etudes de littérature ancienne & étrangeère |
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... lui racontent les traditions de l'Égypte ; il paraît prendre lui - même quelque chose de la gravité mystérieuse de ceux qu'il a consultés : « Ce qu'ils m'ont appris , dit - il , sur les choses divines , je n'ai pas l'intention de le ...
... lui racontent les traditions de l'Égypte ; il paraît prendre lui - même quelque chose de la gravité mystérieuse de ceux qu'il a consultés : « Ce qu'ils m'ont appris , dit - il , sur les choses divines , je n'ai pas l'intention de le ...
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... lui - même les écoles de la philosophie qu'il a chantée . Un de nos premiers écrivains a fortement in- diqué un rapport vraisemblable entre les temps hor- ribles où vécut Lucrèce et les doctrines désolantes dont ce poëte a fait choix ...
... lui - même les écoles de la philosophie qu'il a chantée . Un de nos premiers écrivains a fortement in- diqué un rapport vraisemblable entre les temps hor- ribles où vécut Lucrèce et les doctrines désolantes dont ce poëte a fait choix ...
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Villemain (M.) : tain qu'il se donna lui - même la mort à l'âge de qua- rante - quatre ans , dans un accès de délire ; mais on peut douter que son poëme soit sorti du milieu des rêves d'une raison habituellement égarée . La folie du ...
Villemain (M.) : tain qu'il se donna lui - même la mort à l'âge de qua- rante - quatre ans , dans un accès de délire ; mais on peut douter que son poëme soit sorti du milieu des rêves d'une raison habituellement égarée . La folie du ...
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... lui - même pour un génie céleste tombé de l'empyrée dans cette vie mortelle , et soumis , pour une révolution d'années , à la tâche expiatoire d'assainir la terre et d'éclairer les hommes . Seulement Lucrèce , en réfléchissant la ...
... lui - même pour un génie céleste tombé de l'empyrée dans cette vie mortelle , et soumis , pour une révolution d'années , à la tâche expiatoire d'assainir la terre et d'éclairer les hommes . Seulement Lucrèce , en réfléchissant la ...
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... lui - même . Il détruit tous ces dieux , dont les poëtes avaient peuplé l'univers embelli ; il raille ces doctrines , si saintement philosophiques et si chères à l'imagination comme à la vertu , qui promettent une autre vie et d'autres ...
... lui - même . Il détruit tous ces dieux , dont les poëtes avaient peuplé l'univers embelli ; il raille ces doctrines , si saintement philosophiques et si chères à l'imagination comme à la vertu , qui promettent une autre vie et d'autres ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 247 - What needs my Shakespeare for his honoured bones, The labour of an age in piled stones, Or that his hallowed relics should be hid Under a star-ypointing pyramid? Dear son of memory, great heir of Fame, What need'st thou such weak witness of thy name? Thou in our wonder and astonishment Hast built thyself a livelong monument.
Page 229 - O, for my sake do you with Fortune chide, The guilty goddess of my harmful deeds, That did not better for my life provide Than public means which public manners breeds. Thence comes it that my name receives a brand, And almost thence my nature is subdued To what it works in, like the dyer's hand.
Page 240 - Sweet Swan of Avon ! what a sight it were To see thee in our waters yet appear, And make those flights upon the banks of Thames, That so did take Eliza, and our James...
Page 232 - Not by our feeling, but by others' seeing : For why should others' false adulterate eyes Give salutation to my sportive blood ? Or on my frailties why are frailer spies, Which in their wills count bad what I think good ? No, I am that I am ; and they that level At my abuses, reckon up their own : I may be straight, though they themselves be bevel. By their rank thoughts my deeds must not be shown ; Unless this general evil they maintain, All men are bad, and in their badness reign.
Page 231 - Though I, once gone, to all the world must die : The earth can yield me but a common grave. When you entombed in men's eyes shall lie. Your monument shall be my gentle verse, Which eyes not yet created shall o'er-read ; And tongues to be, your being shall rehearse, When all the breathers of this world are dead ; You still shall live (such virtue hath my pen) Where breath most breathes, — even in the mouths of men.
Page 247 - For whilst, to the shame of slow-endeavouring art, Thy easy numbers flow, and that each heart • Hath, from the leaves of thy unvalued book, Those Delphic lines with deep impression took, Then thou, our fancy of itself bereaving, Dost make us marble, with too much conceiving ; And, so sepulchred in such pomp dost lie, That kings for such a tomb would wish to die.
Page 155 - ... fictions d'aventures amoureuses , écrites en prose avec art , pour le plaisir et l'instruction des lecteurs.
Page 24 - Quoiqu'on retrouve dans plusieurs de ses vers l'àpreté des sons étrusques , ne fait-il pas entendre souvent une harmonie digne de Virgile lui-même? Peu de poètes ont réuni à un plus haut degré ces deux forces dont se compose le génie , la méditation qui pénètre jusqu'au fond des sentiments ou des idées dont elle s'enrichit lentement , et cette inspiration qui s'éveille à la présence des grands objets.
Page 21 - ... à sa mauvaise philosophie. Au premier abord , les vers de Lucrèce semblent rudes et négligés ; les détails techniques abondent ; les paroles sont quelquefois languissantes et prosaïques. Mais qu'on le lise avec soin, on y sentira une expression pleine de vie, qui non-seulement anime de beaux épisodes et de riches descriptions , mais qui souvent s'introduit même dans l'argumentation la plus sèche, et la couvre de fleurs inattendues. C'est une richesse qui tient à la fois aux origines...
Page 362 - ... égale aux luttes de la vie politique ; mais dans la partie la plus élevée des lettres, dans l'imagination et la poésie, le nouvel âge britannique n'avait encore produit aucune de ces œuvres qui représentent une époque et l'immortalisent, aucun de ces génies...