Mélanges académiques, poétiques, littéraires, philologiques, critiques et historiques, Volume 2H. Agasse, 1806 - French essays |
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Page 8
... suites honteuses de leurs débauches . Quant à Persius et Rupilius , ces deux vilains hommes ( car on ne peut pas les nommer autre- ment d'après le portrait qu'en fait Horace ) plai- daient l'un contre l'autre au tribunal de Brutus ...
... suites honteuses de leurs débauches . Quant à Persius et Rupilius , ces deux vilains hommes ( car on ne peut pas les nommer autre- ment d'après le portrait qu'en fait Horace ) plai- daient l'un contre l'autre au tribunal de Brutus ...
Page 25
... suite paraisse Hébé , sans vous tou- jours grossière et sauvage . » Le traducteur a beaucoup outré la pensée d'Ho- race , qui veut dire seulement que la jeunesse sans Vénus perd la meilleure partie de ses charmes , dans le même sens que ...
... suite paraisse Hébé , sans vous tou- jours grossière et sauvage . » Le traducteur a beaucoup outré la pensée d'Ho- race , qui veut dire seulement que la jeunesse sans Vénus perd la meilleure partie de ses charmes , dans le même sens que ...
Page 47
... suite du crime ; Tôt ou tard il atteint et saisit sa victime . Indépendamment du mérite général de cette traduction , ce seul vers , Fuis la nef qui me porte et le toit qui me couvre , rend , avec un laconisme supérieur à l'original ...
... suite du crime ; Tôt ou tard il atteint et saisit sa victime . Indépendamment du mérite général de cette traduction , ce seul vers , Fuis la nef qui me porte et le toit qui me couvre , rend , avec un laconisme supérieur à l'original ...
Page 52
... suite des dactyles qui produit cet effet ? Pourquoi donc n'en produit - elle pas un semblable dans ce vers majes- » tueux et grave qui ouvre l'Olympe à mes yeux ? » دو " Panditur intereà domus omnipotentis Olympi ? M. de Maugris a sur ...
... suite des dactyles qui produit cet effet ? Pourquoi donc n'en produit - elle pas un semblable dans ce vers majes- » tueux et grave qui ouvre l'Olympe à mes yeux ? » دو " Panditur intereà domus omnipotentis Olympi ? M. de Maugris a sur ...
Page 56
... Par un parjure heureux se dérobe aux forfaits . Les strophes précédentes , qui peignent les plices des enfers , Tu potes tigres comitesque sylvas , etc. sup- sont rendues par une suite de vers de huit syllabes 56 MÉLANGES.
... Par un parjure heureux se dérobe aux forfaits . Les strophes précédentes , qui peignent les plices des enfers , Tu potes tigres comitesque sylvas , etc. sup- sont rendues par une suite de vers de huit syllabes 56 MÉLANGES.
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Annibal assez atque beau beautés bellum Bletterie Boileau Caton César césure Cicéron cœur Cosson cùm d'Alembert d'Auguste d'Horace dactyle Deos desirer dieux dire discours Doissin duction Dufresnoy Dusaulx élégie endroits enfans eût exemple fidélité Florus gloire goût guerre homme Horace idées imitations jamais Juvénal l'abbé Paul l'auteur l'Énéide l'ode l'original Laharpe larmes latin léonins livre long-tems Longchamps Lucain malè Mécène ment mérite Messaline mihi modò morceau mort mots neque Néron nunc paraît parle Paterculus Père Dotteville Perse peuple peut-être Pharsale phrase Pison poëme poésie poète poétique Pompée premier Properce prose qu'Horace qu'un quæ quàm quelquefois quid Quinte-Curce quis quod reproche rime Romains Rome Salluste satyre semble sénat sens sent serait seul Silius Italicus spondée Stace strophe strophe alcaïque style Suétone tableau Tacite talens tamen tems texte Tibère tibi Tibulle tion Tite-Live traducteur traduction traits trouve Virgile Voici Voilà yeux دو دو دو
Popular passages
Page 36 - Les ombres par trois fois ont obscurci les cieux, Depuis que le sommeil n'est entré dans vos yeux ; Et le jour a trois fois chassé la nuit obscure, Depuis que votre corps languit sans nourriture.
Page 205 - Le seul transport d'un désir indiscret. » Je te l'ai dit , et je me souviens même Qu'en le disant , les yeux de pleurs noyés, Je te serrais, dans mon désordre extrême , Les deux genoux, et baisais tes deux pieds. Alors, alors tu jurais, ô ma vie! Que nul amant ne tenterait ta foi , Et qu'à moi seul ta jeunesse asservie Refuserait même le cœur d'un roi. Quand son amour, aux deux bords de...
Page 166 - L'a fait pour quelques mois disparaître à nos yeux Mais en vain pour un temps une taxe * l'exile, On le verra bientôt, pompeux, en cette ville Marcher encor, chargé des dépouilles d'autrui, Et jouir du ciel même irrité contre lui...
Page 182 - On ne fut plus ni fat ni sot impunément ; Et malheur à tout nom, qui, propre à la censure, Put entrer dans un vers sans rompre la mesure ! Perse, en ses vers obscurs, mais serrés et pressans, Affecta d'enfermer moins de mots que de sens.
Page 203 - Valent-ils un regard que tu jettes sur moi ? Ah ! que ma paupière mourante Se tourne encor vers toi dans mon dernier moment; Que, par un dernier mouvement, Je presse encor tes mains dans ma main défaillante...
Page 208 - Le plus grand des malheurs est de ne point t'aimer. » Que ta croix dans mes mains soit à ma dernière heure , » Et que les yeux sur toi, je t'embrasse et je meure. » C'est dans ces vifs transports que s'exprime l'amour.
Page 184 - Ce style figuré dont on fait vanité Sort du bon caractère et de la vérité ; Ce n'est que jeu de mots, qu'affectation pure, Et ce n'est point ainsi que parle la nature.
Page 107 - ... mais ces paroles partaient d'un cœur tout plein de la vérité. «Il nous est mort, dit-il, un citoyen qui, sans approcher de la modération et de l'austère équité de nos pères, était cependant un exemple utile, dans un temps où les droits les plus saints sont méconnus et violés. Il fut puissant, et il respecta la liberté de sa patrie. Le peuple eût consenti à l'avoir pour maître, et il vécut en homme privé.
Page 113 - César, de ta victoire écoute moins le bruit, Elle n'est que l'effet du malheur qui me suit ; Je l'ai porté pour dot chez Pompée et chez Crasse ; Deux fois du monde entier j'ai causé la disgrâce, Deux fois de mon hymen le nœud mal assorti...
Page 208 - Dieu, n'est pas ce qui m'enchante, » Et jamais des trésors la soif ne me tourmente. » Ma seule ambition est d'être tout à toi: » Mon plaisir, ma grandeur, ma richesse est ta loi. '» Je ne soupire point après la renommée. » Qu'inconnue aux mortels , en toi seul renfermée , » Ma gloire n'ait jamais que tes yeux pour témoins. » C'est en toi que je trouve un repos dans mes soins.