Mélanges académiques, poétiques, littéraires, philologiques, critiques et historiques, Volume 2H. Agasse, 1806 - French essays |
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Page 21
... laissé la chose indécise en rendant , d'une manière générale , sine cade par sans effusion de sang . Fertur pudicæ conjugis osculum Parvosque natos , ut capitis minor , A se removisse , et virilem Torvus humi posuisse vultum . Régulus ...
... laissé la chose indécise en rendant , d'une manière générale , sine cade par sans effusion de sang . Fertur pudicæ conjugis osculum Parvosque natos , ut capitis minor , A se removisse , et virilem Torvus humi posuisse vultum . Régulus ...
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... laisse aller le dactyle sans elle . Ces réflexions me pa- raissent fines et justes , et j'ajoute que les mots en général ont leur modulation propre , déterminée par le sens . Je ne prononcerai pas ces vers , Un horrible mélange D'os et ...
... laisse aller le dactyle sans elle . Ces réflexions me pa- raissent fines et justes , et j'ajoute que les mots en général ont leur modulation propre , déterminée par le sens . Je ne prononcerai pas ces vers , Un horrible mélange D'os et ...
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... » ainsi faite , ne laisse aucune espérance de délai . » De même , dans les querelles particulières ; si » l'un des combattans se sauve et se renferme , et » que que son adversaire , le poursuivant , frappe la » 64 MÉLANGES.
... » ainsi faite , ne laisse aucune espérance de délai . » De même , dans les querelles particulières ; si » l'un des combattans se sauve et se renferme , et » que que son adversaire , le poursuivant , frappe la » 64 MÉLANGES.
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... laisse encore quelque chose à desirer . Après avoir traduit en prose toutes les odes , il en a traduit quelques - unes en vers , et peut - être n'eût- pas mal fait de les traduire toutes ainsi , car ses traductions ne sont pas moins ...
... laisse encore quelque chose à desirer . Après avoir traduit en prose toutes les odes , il en a traduit quelques - unes en vers , et peut - être n'eût- pas mal fait de les traduire toutes ainsi , car ses traductions ne sont pas moins ...
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... laisse nommer à Enone , ce détour , cette désignation , valent cer- tainement mieux que si elle nommait d'abord Hippolyte . M. Binet ne parle point de Rousseau , qui , aussi plein d'Horace dans ses épîtres , que Boileau lui - même , a ...
... laisse nommer à Enone , ce détour , cette désignation , valent cer- tainement mieux que si elle nommait d'abord Hippolyte . M. Binet ne parle point de Rousseau , qui , aussi plein d'Horace dans ses épîtres , que Boileau lui - même , a ...
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Common terms and phrases
Annibal assez atque beau beautés bellum Bletterie Boileau Caton César césure Cicéron cœur Cosson cùm d'Alembert d'Auguste d'Horace dactyle Deos desirer dieux dire discours Doissin duction Dufresnoy Dusaulx élégie endroits enfans eût exemple fidélité Florus gloire goût guerre homme Horace idées imitations jamais Juvénal l'abbé Paul l'auteur l'Énéide l'ode l'original Laharpe larmes latin léonins livre long-tems Longchamps Lucain malè Mécène ment mérite Messaline mihi modò morceau mort mots neque Néron nunc paraît parle Paterculus Père Dotteville Perse peuple peut-être Pharsale phrase Pison poëme poésie poète poétique Pompée premier Properce prose qu'Horace qu'un quæ quàm quelquefois quid Quinte-Curce quis quod reproche rime Romains Rome Salluste satyre semble sénat sens sent serait seul Silius Italicus spondée Stace strophe strophe alcaïque style Suétone tableau Tacite talens tamen tems texte Tibère tibi Tibulle tion Tite-Live traducteur traduction traits trouve Virgile Voici Voilà yeux دو دو دو
Popular passages
Page 36 - Les ombres par trois fois ont obscurci les cieux, Depuis que le sommeil n'est entré dans vos yeux ; Et le jour a trois fois chassé la nuit obscure, Depuis que votre corps languit sans nourriture.
Page 205 - Le seul transport d'un désir indiscret. » Je te l'ai dit , et je me souviens même Qu'en le disant , les yeux de pleurs noyés, Je te serrais, dans mon désordre extrême , Les deux genoux, et baisais tes deux pieds. Alors, alors tu jurais, ô ma vie! Que nul amant ne tenterait ta foi , Et qu'à moi seul ta jeunesse asservie Refuserait même le cœur d'un roi. Quand son amour, aux deux bords de...
Page 166 - L'a fait pour quelques mois disparaître à nos yeux Mais en vain pour un temps une taxe * l'exile, On le verra bientôt, pompeux, en cette ville Marcher encor, chargé des dépouilles d'autrui, Et jouir du ciel même irrité contre lui...
Page 182 - On ne fut plus ni fat ni sot impunément ; Et malheur à tout nom, qui, propre à la censure, Put entrer dans un vers sans rompre la mesure ! Perse, en ses vers obscurs, mais serrés et pressans, Affecta d'enfermer moins de mots que de sens.
Page 203 - Valent-ils un regard que tu jettes sur moi ? Ah ! que ma paupière mourante Se tourne encor vers toi dans mon dernier moment; Que, par un dernier mouvement, Je presse encor tes mains dans ma main défaillante...
Page 208 - Le plus grand des malheurs est de ne point t'aimer. » Que ta croix dans mes mains soit à ma dernière heure , » Et que les yeux sur toi, je t'embrasse et je meure. » C'est dans ces vifs transports que s'exprime l'amour.
Page 184 - Ce style figuré dont on fait vanité Sort du bon caractère et de la vérité ; Ce n'est que jeu de mots, qu'affectation pure, Et ce n'est point ainsi que parle la nature.
Page 107 - ... mais ces paroles partaient d'un cœur tout plein de la vérité. «Il nous est mort, dit-il, un citoyen qui, sans approcher de la modération et de l'austère équité de nos pères, était cependant un exemple utile, dans un temps où les droits les plus saints sont méconnus et violés. Il fut puissant, et il respecta la liberté de sa patrie. Le peuple eût consenti à l'avoir pour maître, et il vécut en homme privé.
Page 113 - César, de ta victoire écoute moins le bruit, Elle n'est que l'effet du malheur qui me suit ; Je l'ai porté pour dot chez Pompée et chez Crasse ; Deux fois du monde entier j'ai causé la disgrâce, Deux fois de mon hymen le nœud mal assorti...
Page 208 - Dieu, n'est pas ce qui m'enchante, » Et jamais des trésors la soif ne me tourmente. » Ma seule ambition est d'être tout à toi: » Mon plaisir, ma grandeur, ma richesse est ta loi. '» Je ne soupire point après la renommée. » Qu'inconnue aux mortels , en toi seul renfermée , » Ma gloire n'ait jamais que tes yeux pour témoins. » C'est en toi que je trouve un repos dans mes soins.