Mélanges académiques, poétiques, littéraires, philologiques, critiques et historiques, Volume 2H. Agasse, 1806 - French essays |
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... doit parler de l'empoisonnement et du parricide ? Ne sent on pas qu'il est besoin ici des haines > - vigoureuses , des colères vertueuses de Juvénal , et non du badinage d'Horace ? Sans l'excès du ridicule LITTÉRAIRES . 15.
... doit parler de l'empoisonnement et du parricide ? Ne sent on pas qu'il est besoin ici des haines > - vigoureuses , des colères vertueuses de Juvénal , et non du badinage d'Horace ? Sans l'excès du ridicule LITTÉRAIRES . 15.
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... Juvénal parle peut- être en général du succès des lectures de la Thé- baide , et du plaisir que paraissait faire ce poëme , plutôt qu'il ne veut caractériser avec précision la nature de ce plaisir et le mérite de l'ouvrage ; 2o . Que ...
... Juvénal parle peut- être en général du succès des lectures de la Thé- baide , et du plaisir que paraissait faire ce poëme , plutôt qu'il ne veut caractériser avec précision la nature de ce plaisir et le mérite de l'ouvrage ; 2o . Que ...
Page 155
... le traducteur une littérature choisie , une érudition éclairée , un goût sain et pur qui ne se laisse corrompre par aucun esprit de parti . ΕΧΑΜΕΝ DES TRADUCTIONS DES poètes satyriques latins , Juvénal et LITTÉRAIRES . 155.
... le traducteur une littérature choisie , une érudition éclairée , un goût sain et pur qui ne se laisse corrompre par aucun esprit de parti . ΕΧΑΜΕΝ DES TRADUCTIONS DES poètes satyriques latins , Juvénal et LITTÉRAIRES . 155.
Page 156
Gabriel-Henri Gaillard. ΕΧΑΜΕΝ DES TRADUCTIONS DES poètes satyriques latins , Juvénal et Perse . M. HUET , dans son Traité de Interpretatione , ouvrage de sa jeunesse , qui étonna les savans con- sommés , examine cette ... JUVÉNAL et PERSE.
Gabriel-Henri Gaillard. ΕΧΑΜΕΝ DES TRADUCTIONS DES poètes satyriques latins , Juvénal et Perse . M. HUET , dans son Traité de Interpretatione , ouvrage de sa jeunesse , qui étonna les savans con- sommés , examine cette ... JUVÉNAL et PERSE.
Page 157
... JUVÉNAL . Une bonne traduction de Juvénal manquait encore à notre littérature il y a trente et quel- ques années . M. Dusaulx , qui nous l'a donnée en 1770 , et qu'elle a placé à l'Académie des inscrip- tions et belles - lettres , n ...
... JUVÉNAL . Une bonne traduction de Juvénal manquait encore à notre littérature il y a trente et quel- ques années . M. Dusaulx , qui nous l'a donnée en 1770 , et qu'elle a placé à l'Académie des inscrip- tions et belles - lettres , n ...
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Common terms and phrases
Annibal assez atque beau beautés bellum Bletterie Boileau Caton César césure Cicéron cœur Cosson cùm d'Alembert d'Auguste d'Horace dactyle Deos desirer dieux dire discours Doissin duction Dufresnoy Dusaulx élégie endroits enfans eût exemple fidélité Florus gloire goût guerre homme Horace idées imitations jamais Juvénal l'abbé Paul l'auteur l'Énéide l'ode l'original Laharpe larmes latin léonins livre long-tems Longchamps Lucain malè Mécène ment mérite Messaline mihi modò morceau mort mots neque Néron nunc paraît parle Paterculus Père Dotteville Perse peuple peut-être Pharsale phrase Pison poëme poésie poète poétique Pompée premier Properce prose qu'Horace qu'un quæ quàm quelquefois quid Quinte-Curce quis quod reproche rime Romains Rome Salluste satyre semble sénat sens sent serait seul Silius Italicus spondée Stace strophe strophe alcaïque style Suétone tableau Tacite talens tamen tems texte Tibère tibi Tibulle tion Tite-Live traducteur traduction traits trouve Virgile Voici Voilà yeux دو دو دو
Popular passages
Page 36 - Les ombres par trois fois ont obscurci les cieux, Depuis que le sommeil n'est entré dans vos yeux ; Et le jour a trois fois chassé la nuit obscure, Depuis que votre corps languit sans nourriture.
Page 205 - Le seul transport d'un désir indiscret. » Je te l'ai dit , et je me souviens même Qu'en le disant , les yeux de pleurs noyés, Je te serrais, dans mon désordre extrême , Les deux genoux, et baisais tes deux pieds. Alors, alors tu jurais, ô ma vie! Que nul amant ne tenterait ta foi , Et qu'à moi seul ta jeunesse asservie Refuserait même le cœur d'un roi. Quand son amour, aux deux bords de...
Page 166 - L'a fait pour quelques mois disparaître à nos yeux Mais en vain pour un temps une taxe * l'exile, On le verra bientôt, pompeux, en cette ville Marcher encor, chargé des dépouilles d'autrui, Et jouir du ciel même irrité contre lui...
Page 182 - On ne fut plus ni fat ni sot impunément ; Et malheur à tout nom, qui, propre à la censure, Put entrer dans un vers sans rompre la mesure ! Perse, en ses vers obscurs, mais serrés et pressans, Affecta d'enfermer moins de mots que de sens.
Page 203 - Valent-ils un regard que tu jettes sur moi ? Ah ! que ma paupière mourante Se tourne encor vers toi dans mon dernier moment; Que, par un dernier mouvement, Je presse encor tes mains dans ma main défaillante...
Page 208 - Le plus grand des malheurs est de ne point t'aimer. » Que ta croix dans mes mains soit à ma dernière heure , » Et que les yeux sur toi, je t'embrasse et je meure. » C'est dans ces vifs transports que s'exprime l'amour.
Page 184 - Ce style figuré dont on fait vanité Sort du bon caractère et de la vérité ; Ce n'est que jeu de mots, qu'affectation pure, Et ce n'est point ainsi que parle la nature.
Page 107 - ... mais ces paroles partaient d'un cœur tout plein de la vérité. «Il nous est mort, dit-il, un citoyen qui, sans approcher de la modération et de l'austère équité de nos pères, était cependant un exemple utile, dans un temps où les droits les plus saints sont méconnus et violés. Il fut puissant, et il respecta la liberté de sa patrie. Le peuple eût consenti à l'avoir pour maître, et il vécut en homme privé.
Page 113 - César, de ta victoire écoute moins le bruit, Elle n'est que l'effet du malheur qui me suit ; Je l'ai porté pour dot chez Pompée et chez Crasse ; Deux fois du monde entier j'ai causé la disgrâce, Deux fois de mon hymen le nœud mal assorti...
Page 208 - Dieu, n'est pas ce qui m'enchante, » Et jamais des trésors la soif ne me tourmente. » Ma seule ambition est d'être tout à toi: » Mon plaisir, ma grandeur, ma richesse est ta loi. '» Je ne soupire point après la renommée. » Qu'inconnue aux mortels , en toi seul renfermée , » Ma gloire n'ait jamais que tes yeux pour témoins. » C'est en toi que je trouve un repos dans mes soins.