Mémoires de la Société des sciences morales, des lettres et des arts de Seine-et-Oise, Volumes 7-81866 - Seine-et-Oise (France) |
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Contents
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Common terms and phrases
aimé année appelle arriver assez aujourd'hui aurait avaient avant beau belle besoin c'était caractère chants charmant Château chose commença compte côté cour d'autres d'eau demande dépenses dernier devant Dieu dire doit donner doute eaux effet élevé enfants enfin esprit étude faisait famille femme fêtes force forme général génie Grèce hommes intitulée j'ai jardins jeune jouer jour juge l'auteur l'eau l'esprit l'histoire l'homme l'un laisser lettres lieu livres loin Louis XIV lui-même main mémoire ment mère mieux milieu monde montré morale mort moyen n'était nature nouveau nouvelle palais parler passé passions peine pendant pensée père petite peuple peut-être philosophie pièce place poète porte pourrait pouvait premier presque publique puisse qu'un raison reste rien s'est s'il savant science séance semble sentiment serait servir seul siècle Société sorte souvent suivant sujet surtout tard terre tion traits travaux trouve venait vérité Versailles Virgile vivant voyait vrai yeux
Popular passages
Page xvii - ... soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible : ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine de semer, de labourer et de recueillir pour vivre, et méritent ainsi de ne pas manquer de ce pain qu'ils ont semé.
Page 177 - L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes.
Page lxvi - Ces peuples d'ailleurs ont leur Dieu et leur roi : les grands de la nation s'assemblent tous les jours, à une certaine heure, dans un temple qu'ils nomment église; il ya au fond de ce temple un autel consacré à leur Dieu, où un prêtre célèbre des mystères qu'ils appellent saints, sacrés et redoutables ; les grands...
Page 237 - Ils auront au doigt un anneau d'or, et au cou une médaille d'or avec votre portrait. Ceux du second rang seront vêtus de bleu ; ils porteront une frange d'argent, avec l'anneau, et point de médaille ; les troisièmes, de vert, sans anneau et sans frange...
Page clv - Le mourant ressuscite en apprenant cette grande nouvelle. Il embrasse bien tendrement M. de Lally. Il voit que le roi est le défenseur de la justice ; il mourra content.
Page cxx - L'envie, la malignité, ni la cabale, n'avaient de voix parmi eux. Ils adoraient les ouvrages des anciens, ne refusaient point à ceux des modernes les louanges qui leur sont dues, parlaient des leurs avec modestie, et se donnaient des avis sincères lorsque quelqu'un d'eux tombait dans la maladie du siècle, et faisait un livre, ce qui arrivait rarement.
Page 243 - Sur toute chose , ne forcez jamais vos sujets à changer de religion. Nulle puissance humaine ne peut forcer le retranchement impénétrable de la liberté du cœur. La force ne peut jamais persuader les hommes ; elle ne fait que des hypocrites.
Page 247 - Enfin , messieurs , les fonctions du soldat sont terribles ; mais il faut qu'elles tiennent à une grande loi du monde spirituel , et l'on ne doit pas s'étonner que toutes les nations de l'univers se soient accordées à voir dans ce fléau quelque chose...
Page 3 - ... simple et qui serait ordonnée par moi : cette velléité est entièrement détruite par les quatre mots que je leur ai dits, et il ne m'en est resté que l'idée des ressources inépuisables des cabaleurs. Vous ne devez regarder cette circonstance que comme une nouvelle indication de mauvais desseins, mais non en aucune manière comme un danger réel. Envoyez ma lettre à M. de Montmorin. — On...
Page 81 - Je reçois avec une vive sensibilité les nouveaux témoignages de l'attachement de l'Assemblée. Le vœu de mon cœur est, vous le savez, de ne jamais me séparer d'elle. Je vais me rendre à Paris avec la reine et mes enfants. Je donnerai tous les ordres nécessaires pour que l'Assemblée nationale puisse y continuer ses travaux.