...générations des hommes s'écoulent comme les ondes d'un fleuve rapide 5 rien ne peut arrêter le tems qui entraîne après lui tout •ce qui paroît le plus immobile. Toi-même, ô mon fils ; mon cher fils,toi-même qui jouis mainteiJiant d'une jeunefle fi vive &: fi féconde en plaifirs,fouviens-toi...

...hommes paflent comme les fleurs qui s'épanouiflent le matin, & qui le foir font flétries & foulees aux pieds. Les générations des hommes s'écoulent comme les ondes d'un fleuve rapide, rien ne * L'Auteur ne lajfle rien echaper dans les Anciens, dont il ne profite. On voit qu'il avoit ici en...

...fils revienne lui fermer les yeux. Ainfi les hommes paflênt comme les fleurs qui s'épanouïflènt le matin, & qui le foir font flétries & foulées...ondes d'un fleuve rapide. Rien ne peut arrêter le tems qui entraine après lui tout ce qui paroît le plus immobile. Toi-même, o mon fils, mon cher...

...les hommes paflent comme les fleurs qui s'épanouîflent le matin , & qui le foir font flétries 6c foulées aux pieds. Les générations des hommes s'écoulent...ondes d'un fleuve rapide ; rien ne peut arrêter le tems qui entraîne aprés lui tout ce qui paraît le plus immobile. Toi-même , ô mon fils, mon cher...

...Ainfi les hommes paflent comme les fleurs qui s 'épanouifTent le matin, & qui le foir font flctries & foulées aux pieds. Les générations des hommes...ondes d'un fleuve rapide ; rien ne peut arrêter le tems qui entraîne après lui tout ce qui paroît le plus immobile. Toi' môme, ô mon fils! mon cher...

...les hommes passent comme les fleurs qui s'épanouissent le matin, et qui le soir sont flétries et foulées aux pieds. Les générations des hommes s'écoulent...arrêter le temps qui entraîne après lui tout ce qui ^aroîl le plus immobile. Toi-même , ô mon fiis 1 mon cher fils, toi-même, qui jouis maintenant...

...paflent comme les fleurs qui s'épanouiffent le matin , & qui le foir font flétries & foulées •ux pieds. Les générations des hommes s'écoulent comme...arrêter le temps qui entraîne après lui tout ce qui parole le plus immobile. Toi-même, ô mon fils , mon cher fils , toi-même qui jouis maintenant d'une...

...lui fermer les yeux. Ainfi les hommes paflent comme les fleurs qui s'épanouilïent le matin , & qiti le foir font flétries & foulées aux pieds. Les générations...ondes d'un fleuve rapide ; rien ne peut arrêter le tems , qui entraîne après lui tout ce qui paroît le plus immobile. Toi-même , ô mon fils ! mon...

...encore de la lumiere , & attend que fon fils revienne pour lui fetmer les yeux. Ainfi les hommes paflent comme les fleurs qui s'épanouiflent le matin , &...ondes d'un fleuve rapide ; rien ne peut arrêter le tems , qui entraîne après lui tout ce qui paroît le plus immobile. Toimême , ô mon fils ! mon...

...les homme» passent comme les fleurs qui s'épanouissent le matin et qui le soir sont flétries et foulées aux pieds. Les générations des hommes s'écoulent...ondes d'un fleuve rapide ; rien ne peut arrêter le tems, qui entraîne après lui tout ce qui paroit le plus immobile. Toi-même, ô mon fils, mon cher...