Œuvres complètes, avec des notes par m. Berriat-Saint-Prix, Volume 2 |
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... qu'il doit le plus souvent la beauté , la grâce et l'é- 1 Voy . ci - après , note 1 de l'épître VII , une autre analyse de la même épî- tre , par M. Andrieux . nergie de ses vers . Il est superflu d'ajouter ici OBSERVATIONS . 5.
... qu'il doit le plus souvent la beauté , la grâce et l'é- 1 Voy . ci - après , note 1 de l'épître VII , une autre analyse de la même épî- tre , par M. Andrieux . nergie de ses vers . Il est superflu d'ajouter ici OBSERVATIONS . 5.
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... Andrieux ( Journ . polyt . , tome IV , 103 ) . 1. Vers 1 à 7. Le poète commence par un éloge du talent de Racine . 2. Vers 7 à 15. Mais le talent ne désarme pas l'envie , au contraire , il l'ir- rite . 3. Vers 15 à 40. La mort seule met ...
... Andrieux ( Journ . polyt . , tome IV , 103 ) . 1. Vers 1 à 7. Le poète commence par un éloge du talent de Racine . 2. Vers 7 à 15. Mais le talent ne désarme pas l'envie , au contraire , il l'ir- rite . 3. Vers 15 à 40. La mort seule met ...
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... mot chenu vient de canus , blanc , blanchi . Il a vieilli , et on peut le re- gretter , surtout pour le langage poétique . M. Andrieux , J. pol . , 166 . 1 1 Onze lustres complets , surchargés de trois ans , ÉPITRE X. 127.
... mot chenu vient de canus , blanc , blanchi . Il a vieilli , et on peut le re- gretter , surtout pour le langage poétique . M. Andrieux , J. pol . , 166 . 1 1 Onze lustres complets , surchargés de trois ans , ÉPITRE X. 127.
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... Andrieux , Journ . , 166. - Les deux derniers vers ( 27 et 28 ) surtout sont d'une grande beauté . Il n'est pas possible de dire plus poétiquement qu'on a cinquante - huit ans ( Clément , ib . , 480 ) . Voltaire ( Ép . à Boileau , v ...
... Andrieux , Journ . , 166. - Les deux derniers vers ( 27 et 28 ) surtout sont d'une grande beauté . Il n'est pas possible de dire plus poétiquement qu'on a cinquante - huit ans ( Clément , ib . , 480 ) . Voltaire ( Ép . à Boileau , v ...
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... Andrieux . - Nous n'avons pu découvrir où l'on a puisé cette critique qui nous paraît bien subtile pour Antoine , surtout dans un temps où le titre de valet , à - peu - près abandonné aujourd'hui , était d'un usage général , et en- fin ...
... Andrieux . - Nous n'avons pu découvrir où l'on a puisé cette critique qui nous paraît bien subtile pour Antoine , surtout dans un temps où le titre de valet , à - peu - près abandonné aujourd'hui , était d'un usage général , et en- fin ...
Contents
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Common terms and phrases
à-peu-près admirable Amar Andrieux Art poét assez auteur beau Boil Boileau Boileau classique Brienne Brontin Bross Brossette Brun chanoines chant Chapat charme cite Clément cœur critique D'Alembert d'après d'Horace Daunou Desmarets Despréaux Didon et Énée Dieu dire discours dit-il Dumonteil éditeurs éditions modernes éloge Encycl Énéide épigramme épît épithète épître esprit eût expression Féraud Fontanier gloire harmonie imitative Harpe hémistiche Henriade héros heureux Horace jamais l'Art poétique l'auteur l'édition l'éloge l'épigramme l'épître l'harmonie latin lecteur Lemercier Lett Louis Louis Racine Lutrin Marmontel mieux mots muse noble note Notice bibl Nouv observe ouvrage paraît parler peint pensée Perrault plaisant poème poésie Pradon prélat premier qu'un Racine raison remarque ridicule rien rime saint Saint-Marc Saint-Surin Sainte-Garde satire semble sens sentiment seul sort Souchay style suiv sujet supprimés au Boileau syllabes trouve V. E. Texte VIII Virgile Voltaire yeux
Popular passages
Page 185 - Surtout qu'en vos écrits la langue révérée, Dans vos plus grands excès vous soit toujours sacrée ; En vain vous me frappez d'un son mélodieux, Si le terme est impropre ou le tour vicieux : Mon esprit n'admet point un pompeux barbarisme, Ni d'un vers ampoulé l'orgueilleux solécisme : Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin Est toujours, quoi qu'il fasse, un méchant écrivain.
Page 161 - Heureux qui, dans ses vers, sait, d'une voix légère, Passer du grave au doux, du plaisant au sévère!
Page 225 - Là pour nous enchanter tout est mis en usage; Tout prend un corps, une âme, un esprit, un visage. Chaque vertu devient une divinité : Minerve est la prudence, et Vénus la beauté ; Ce n'est plus la vapeur qui produit le tonnerre, C'est Jupiter armé pour effrayer la terre ; Un orage terrible aux yeux des matelots, C'est Neptune en courroux qui gourmande les flots.
Page 183 - Ronsard, qui le suivit, par une autre méthode, Réglant tout, brouilla tout, fit un art à sa mode, Et toutefois longtemps eut un heureux destin. Mais sa muse, en français parlant grec et latin, Vit dans l'âge suivant, par un retour grotesque, Tomber de ses grands mots le faste pédantesque.
Page 221 - L'air, ni l'esprit français à l'antique Italie ; Et, sous des noms romains faisant notre portrait, Peindre Caton galant et Brutus dameret.
Page 88 - L'ignorance et l'erreur, à ses naissantes pièces, En habits de marquis, en robes de comtesses, Venaient pour diffamer son chef-d'œuvre nouveau, Et secouaient la tête à l'endroit le plus beau. Le commandeur voulait la scène plus exacte; Le vicomte, indigné, sortait au second acte; L'un, défenseur zélé des bigots mis en jeu, Pour prix de ses bons mots le condamnait au feu; L'autre, fougueux marquis, lui déclarant la guerre, Voulait venger la cour immolée au parterre.
Page 404 - Son style impétueux souvent marche au hasard : Chez elle un beau désordre est un effet de l'art.
Page 190 - Aussitôt il vous quitte; et, content de sa muse, S'en va chercher ailleurs quelque fat qu'il abuse; Car souvent il en trouve : ainsi qu'en sots auteurs , Notre siècle est fertile en sots admirateurs; Et, sans ceux que fournit la ville et la province, II en est chez le duc, il en est chez le prince.
Page 180 - Mais de ce style enfin la cour désabusée Dédaigna de ces vers l'extravagance aisée, Distingua le naïf du plat et du bouffon Et laissa la province admirer le Typhon.
Page 14 - L'entreprise est fort belle, Et digne seulement d'Alexandre ou de vous : Mais, Rome prise enfin, Seigneur, où courons-nous? — Du reste des Latins la conquête est facile. — Sans doute, on les peut vaincre : est-ce tout? — La Sicile De là nous tend les bras, et bientôt, sans effort Syracuse reçoit nos vaisseaux dans son port.