La poésie: études sur les chefs-d'oeuvre des poètes de tous les temps et de tous les pays |
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... genre , l'épopée par exemple . Aussitôt il se réfère à Aristote , et lui emprunte sa définition et ses préceptes . Il passe ensuite à d'autres critiques de l'antiquité , leur fait des emprunts analogues , compile tous les documents ...
... genre , l'épopée par exemple . Aussitôt il se réfère à Aristote , et lui emprunte sa définition et ses préceptes . Il passe ensuite à d'autres critiques de l'antiquité , leur fait des emprunts analogues , compile tous les documents ...
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... genre de celui du père Le Bossu , traités composés avec un soin admirable , une érudition pro- fonde , et qui se maintiennent dans le domaine des chi- mères . Et il arrivait souvent que les auteurs de ces traités , après avoir compilé ...
... genre de celui du père Le Bossu , traités composés avec un soin admirable , une érudition pro- fonde , et qui se maintiennent dans le domaine des chi- mères . Et il arrivait souvent que les auteurs de ces traités , après avoir compilé ...
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... genre inventée mille ans , deux mille ans après , et calquée sur les habitudes et les goûts d'une société qui ne ressemblait en rien à celle de la Grèce héroïque . - Boileau , qui réfuta Per- rault , n'eut garde de se placer sur ce ...
... genre inventée mille ans , deux mille ans après , et calquée sur les habitudes et les goûts d'une société qui ne ressemblait en rien à celle de la Grèce héroïque . - Boileau , qui réfuta Per- rault , n'eut garde de se placer sur ce ...
Page 16
... genres de poésie chez les Grecs , les Latins , les Français . Il y a , comme chacun sait , une affinité réelle entre les lit- tératures de ces trois peuples . Les Latins imitent les Grecs , les Français imitent les Grecs et les Latins ...
... genres de poésie chez les Grecs , les Latins , les Français . Il y a , comme chacun sait , une affinité réelle entre les lit- tératures de ces trois peuples . Les Latins imitent les Grecs , les Français imitent les Grecs et les Latins ...
Page 18
... genre de l'Iliade , il emploie le mot chant ( aoidè ) ; les auteurs de ces chants , il les appelle simplement chanteurs ( aoidoi ) . Quant au mot épopée ( épos ) , dans Homère il n'est guère employé que dans le sens de paroles de conver ...
... genre de l'Iliade , il emploie le mot chant ( aoidè ) ; les auteurs de ces chants , il les appelle simplement chanteurs ( aoidoi ) . Quant au mot épopée ( épos ) , dans Homère il n'est guère employé que dans le sens de paroles de conver ...
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Common terms and phrases
Achille Agamemnon Ajax âme Arès Athènè Atrides bataille bergers bles Boileau c'était caractère champs Chanson de Roland chant charme chœur choses cœur critique d'Achille d'Ajax d'Homère d'Ulysse destinée Dieu dieux Dionysos divinité dix-septième siècle drame Énée enfants épopée Eschyle esprit Euripide eût fable femme fils fleurs foule génie genre gloire goût Grecs guerre héros Homère hommes Horace Idylles Ithaque jour Jupiter Juvénal l'âme l'apologue l'art l'Énéide l'épopée l'homme l'Iliade l'Odyssée l'œuvre légende liberté littérature Lope de Véga Lucilius Lucrèce lui-même Macbeth main maître malheureux Ménélaos ment misères mœurs monde morale mort mortels nature noble œuvre passe passions Patrocle peinture père personnages peuple Phéaciens Pindare pitié poëme poésie dramatique poésie lyrique poésie pastorale poëte poétique prince reste rien rois Roland Romains Rome sais sang sanglante satire scène seizième siècle sentiments serait seul Shakespeare Sophocle sujet Tecmessa Teucer théâtre Théocrite tion tragédie traits Troie Troyens Ulysse vainqueur vices Virgile voilà Voltaire yeux
Popular passages
Page 291 - Scudéry et de sa protectrice, en faisant quelque nouveau Cid, qui attire encore les suffrages de tout le monde, et qui montre que l'art n'est pas ce qui fait la beauté ; mais il n'ya pas moyen de l'y résoudre, et il ne parle plus que de règles, et que des choses qu'il eût pu répondre aux académiciens...
Page 186 - Et lui! l'orgueil gonflait sa puissante narine; Ses deux bras, jusqu'alors croisés sur sa poitrine, S'étaient enfin ouverts! Et l'enfant, soutenu dans sa main paternelle, Inondé des éclairs de sa fauve prunelle, Rayonnait au travers.
Page 327 - Puis, aux derniers abois de sa proche ruine, Elle dit : « Vous avez, félons, ensanglanté, Le sein qui vous nourrit et qui vous a porté; Or vivez de venin, sanglante geniture, 130 Je n'ai plus que du sang pour vostre nourriture.
Page 336 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs ; Je meurs, et sur la tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs.
Page 288 - L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes.
Page 186 - Ton aigle dans son vol, haletants, nous emporte. L'œil même qui te fuit te retrouve partout. Toujours dans nos tableaux tu jettes ta grande ombre; Toujours Napoléon, éblouissant et sombre, Sur le seuil du siècle est debout.
Page 188 - Quand, pour loger un jour ce maître héréditaire, On eut enraciné bien avant dans la terre Les pieds de marbre des palais ; Lorsqu'on eut pour sa soif posé devant la France Un vase tout rempli du vin de l'espérance Avant qu'il eût goûté de ce poison doré, Avant que de sa lèvre il eût touché la coupe , Un Cosaque survint qui prit l'enfant en croupe Et l'emporta tout effaré ! IV Oui, l'aigle, un soir, planait aux voûtes éternelles, Lorsqu'un grand coup de vent lui cassa les deux ailes...
Page 189 - Tous deux sont morts. — Seigneur, votre droite est terrible ! Vous avez commencé par le maître invincible, Par l'homme triomphant, Puis vous avez enfin complété l'ossuaire ; Dix ans vous ont suffi pour filer le suaire Du père et de l'enfant ! Gloire, jeunesse, orgueil, biens que la tombe emporte!
Page 385 - J'aime le jeu, l'amour, les livres, la musique, La ville et la campagne, enfin tout ; il n'est rien Qui ne me soit souverain bien, Jusqu'au sombre plaisir d'un cœur mélancolique.
Page 124 - II n'eût point de son livre illustré l'Italie , Si son sage héros , toujours en oraison , N'eût fait que mettre enfin Satan à la raison ; Et si Renaud , Argant, Tancrède, et sa maîtresse , N'eussent de son sujet égayé la tristesse.