La poésie: études sur les chefs-d'oeuvre des poètes de tous les temps et de tous les pays |
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Page 29
... éclate ; et c'est là à mes yeux l'argument le plus déci-- sif en faveur de l'existence et de la personnalité d'Ho- mère , ou du poëte , quel qu'il soit , qui est l'auteur uni- que de l'Iliade . Que de types différents , et quelle sûreté ...
... éclate ; et c'est là à mes yeux l'argument le plus déci-- sif en faveur de l'existence et de la personnalité d'Ho- mère , ou du poëte , quel qu'il soit , qui est l'auteur uni- que de l'Iliade . Que de types différents , et quelle sûreté ...
Page 96
... éclate ; on méprise les poëtes qui ont offert leur hom- mage à ce dieu déchu . Hâtons - nous de le dire , ce n'est pas la France qui a donné naissance à ces théories d'un nouveau genre . C'est en Allemagne qu'elles sont nées , il y a ...
... éclate ; on méprise les poëtes qui ont offert leur hom- mage à ce dieu déchu . Hâtons - nous de le dire , ce n'est pas la France qui a donné naissance à ces théories d'un nouveau genre . C'est en Allemagne qu'elles sont nées , il y a ...
Page 144
... jeune prince en qui la majesté Sur son visage aimable éclate sans fierté ? D'un œil d'indifférence il regarde le trône . Ciel quelle nuit soudaine à mes yeux l'environne ! La mort autour de lui vole sans s'arrêter ; Il 114 LA HENRIADE .
... jeune prince en qui la majesté Sur son visage aimable éclate sans fierté ? D'un œil d'indifférence il regarde le trône . Ciel quelle nuit soudaine à mes yeux l'environne ! La mort autour de lui vole sans s'arrêter ; Il 114 LA HENRIADE .
Page 151
... éclate , anime tout , remplit tout . L'épopée avait été jusqu'ici la seule forme qui s'imposât aux aèdes . Ils chantaient les exploits , les aventures des rois , fils de Ju- piter , pasteurs des peuples : le reste de la nation n'exis ...
... éclate , anime tout , remplit tout . L'épopée avait été jusqu'ici la seule forme qui s'imposât aux aèdes . Ils chantaient les exploits , les aventures des rois , fils de Ju- piter , pasteurs des peuples : le reste de la nation n'exis ...
Page 152
... éclate dans un chant . Alcée lutte contre Pittacus , tyran de Mitylène , sa patrie une ode , quelques strophes lui suffisent pour épancher la haine que lui inspire l'oppresseur , l'amour qu'il a voué à la liberté , les désirs , les espé ...
... éclate dans un chant . Alcée lutte contre Pittacus , tyran de Mitylène , sa patrie une ode , quelques strophes lui suffisent pour épancher la haine que lui inspire l'oppresseur , l'amour qu'il a voué à la liberté , les désirs , les espé ...
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Common terms and phrases
Achille Agamemnon Ajax âme Arès Athènè Atrides bataille bergers bles Boileau c'était caractère champs Chanson de Roland chant charme chœur choses cœur critique d'Achille d'Ajax d'Homère d'Ulysse destinée Dieu dieux Dionysos divinité dix-septième siècle drame Énée enfants épopée Eschyle esprit Euripide eût fable femme fils fleurs foule génie genre gloire goût Grecs guerre héros Homère hommes Horace Idylles Ithaque jour Jupiter Juvénal l'âme l'apologue l'art l'Énéide l'épopée l'homme l'Iliade l'Odyssée l'œuvre légende liberté littérature Lope de Véga Lucilius Lucrèce lui-même Macbeth main maître malheureux Ménélaos ment misères mœurs monde morale mort mortels nature noble œuvre passe passions Patrocle peinture père personnages peuple Phéaciens Pindare pitié poëme poésie dramatique poésie lyrique poésie pastorale poëte poétique prince reste rien rois Roland Romains Rome sais sang sanglante satire scène seizième siècle sentiments serait seul Shakespeare Sophocle sujet Tecmessa Teucer théâtre Théocrite tion tragédie traits Troie Troyens Ulysse vainqueur vices Virgile voilà Voltaire yeux
Popular passages
Page 291 - Scudéry et de sa protectrice, en faisant quelque nouveau Cid, qui attire encore les suffrages de tout le monde, et qui montre que l'art n'est pas ce qui fait la beauté ; mais il n'ya pas moyen de l'y résoudre, et il ne parle plus que de règles, et que des choses qu'il eût pu répondre aux académiciens...
Page 186 - Et lui! l'orgueil gonflait sa puissante narine; Ses deux bras, jusqu'alors croisés sur sa poitrine, S'étaient enfin ouverts! Et l'enfant, soutenu dans sa main paternelle, Inondé des éclairs de sa fauve prunelle, Rayonnait au travers.
Page 327 - Puis, aux derniers abois de sa proche ruine, Elle dit : « Vous avez, félons, ensanglanté, Le sein qui vous nourrit et qui vous a porté; Or vivez de venin, sanglante geniture, 130 Je n'ai plus que du sang pour vostre nourriture.
Page 336 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs ; Je meurs, et sur la tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs.
Page 288 - L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes.
Page 186 - Ton aigle dans son vol, haletants, nous emporte. L'œil même qui te fuit te retrouve partout. Toujours dans nos tableaux tu jettes ta grande ombre; Toujours Napoléon, éblouissant et sombre, Sur le seuil du siècle est debout.
Page 188 - Quand, pour loger un jour ce maître héréditaire, On eut enraciné bien avant dans la terre Les pieds de marbre des palais ; Lorsqu'on eut pour sa soif posé devant la France Un vase tout rempli du vin de l'espérance Avant qu'il eût goûté de ce poison doré, Avant que de sa lèvre il eût touché la coupe , Un Cosaque survint qui prit l'enfant en croupe Et l'emporta tout effaré ! IV Oui, l'aigle, un soir, planait aux voûtes éternelles, Lorsqu'un grand coup de vent lui cassa les deux ailes...
Page 189 - Tous deux sont morts. — Seigneur, votre droite est terrible ! Vous avez commencé par le maître invincible, Par l'homme triomphant, Puis vous avez enfin complété l'ossuaire ; Dix ans vous ont suffi pour filer le suaire Du père et de l'enfant ! Gloire, jeunesse, orgueil, biens que la tombe emporte!
Page 385 - J'aime le jeu, l'amour, les livres, la musique, La ville et la campagne, enfin tout ; il n'est rien Qui ne me soit souverain bien, Jusqu'au sombre plaisir d'un cœur mélancolique.
Page 124 - II n'eût point de son livre illustré l'Italie , Si son sage héros , toujours en oraison , N'eût fait que mettre enfin Satan à la raison ; Et si Renaud , Argant, Tancrède, et sa maîtresse , N'eussent de son sujet égayé la tristesse.