Ronsard, poète lyrique: étude historique et littéraire |
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Popular passages
Page 150 - D'un vers hautement grave, ains d'un beau Stile bas, Populaire et plaisant, ainsi qu'a fait Tibulle, L'ingénieux Ovide, et le docte Catulle. Le fils de Venus hait ces ostentations : II...
Page 430 - D'amoureuses brigades, De Satyres et de Sylvains, La crainte des Naïades ! En toi habite désormais Des Muses le collège, Et ton bois ne sente jamais La flamme sacrilège ! m A LA FONTAINE BELLERIE
Page 721 - On dirait vraiment qu'il y eut deux poètes en Ronsard : l'un asservi à une méthode, préoccupé de combinaisons et d'efforts, qui se guinda jusqu'à l'ode pindarique , et trébucha fréquemment; l'autre encore naïf et déjà brillant, qui continua , perfectionna Marot , devança et surpassa de bien loin Malherbe dans l'ode légère...
Page 627 - Le temps s'en va, le temps s'en va, ma dame, Las ! le temps non, mais nous, nous en allons, Et tost serons estendus sous la lame...
Page 135 - Voulez-vous du public mériter les amours? Sans cesse en écrivant variez vos discours. Un style trop égal, et toujours uniforme, En vain brille à nos yeux, il faut qu'il nous endorme. On lit peu ces auteurs, nés pour nous ennuyer, Qui toujours sur un ton semblent psalmodier.
Page 457 - Mais tousjours ma jeunesse fuit, Et la vieillesse qui me suit, De jeune en vieillard me transforme.
Page 457 - Et les genous, que n'est le mur Qui froidement vous environne. Ondes, sans fin vous promenez, Et vous menez et ramenez Vos flots, d'un cours qui ne séjourne : Et moy sans faire long séjour, Je m'en vais de nuict et de jour, Au lieu d'où plus on ne retourne.
Page 115 - Et toute la musine troupe. Depuis le soir jusqu'au matin Je veux leur donner un festin Et cent fois leur pendre la coupe. Verse donc et reverse encor Dedans ceste grand...
Page xviii - Psautier, et osai, le premier des nostres, enrichir ma langue de ce nom, Ode, comme l'on peut veoir par le titre d'une imprimée sous mon nom dedans le livre de Jacques Peletier du Mans, l'un des plus excelens Poètes de nostre âge, affin que nul ne s'atribue ce que la vérité commande estre à moi.
Page xxxii - Je ne fai point de doute que ma poésie tant varie ne semble fâcheuse aus oreilles de nos rimeurs, et principalement des courtizans, qui n'admirent qu'un petit sonnet petrarquizé, ou quelque mignardise d'amour qui continue tousjours en son propos...