Français étaient deux ornements de leur nation par leur courage. Je sens que mon cœur est encore touché pour sa patrie. Mais avançons pour lui parler. Ah! mon pauvre Bayard, c'est avec douleur que je te vois en cet état. Otto's French Conversation Grammar - Page 286by Emil Otto - 1870 - 396 pagesFull view - About this book
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - Cambrai, France - 1787 - 588 pages
...CONNÉTABLE. JN 'EST-CE point le pauvre Bayard que je vois, au pied de cet arbre, étendu sur l'herbe, et percé d'un grand coup? Oui c'est lui-même. Hélas...aujourd'hui par nos armes, Vandenesse et lui. Ces deux François étoient deux ornements de Jeur nation par leur courage. Je sens que mon cœur est encore... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - Cambrai, France - 1787 - 592 pages
...CONNÉTABLE. JN 'EST-CE point le pauvre Bayard que je vois, au pied de cet arbre, étendu sur l'herbe, et percé d'un grand coup? Oui c'est lui-même. Hélas...aujourd'hui par nos armes, Vandenesse et lui. Ces deux François étoient deux ornements de leur nation par leu-r courage. Je sens que mon cœur est encore... | |
| Jean François Michel Noël - 1808 - 624 pages
...Connétable, N'est-ce point le pauvre Bayard que je vois au pied de cet arbre , étendu sur l'herbe, et percé d'un grand coup ? Oui, c'est lui-même....voilà deux qui périssent aujourd'hui par nos armes , Vendenesse et lui. Ces deuxFrançais étaient deus ornements de leur nation par leur courage. Je... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - Conduct of life - 1809 - 460 pages
...périssent aujourd'hui par nos armes , Vendenesse et lui. Ces deux Français étaient deux ornemens de leur nation par leur courage. Je sens que mon cœur...avançons pour lui parler. Ah ! mon pauvre Bayard , e'est avec douleur que je te vois en cet état. B vy. C'est avec douleur que je vous vois aussi.... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - French literature - 1810 - 598 pages
...NÉTABLE. .N'EST-CE point le pauvre Bayard que je vois , au pied de cet arbre , étendu sur l'Herbe et percé d'un grand coup ? Oui c'est lui-même. Hélas...voilà deux qui périssent aujourd'hui par nos armes, Vendenesse et lui. Ces deux français étaient deux ornemens de leur nation par leur courage. Je sens... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1823 - 598 pages
...BOUHB. — N'EST-CE point le pauvre Bayard que je vois, au pied de cet arbre, étendu sur l'herbe, et percé d'un grand coup? Oui , c'est lui-même....par nos armes, Vandenesse et lui. Ces deux Français étoient deux ornemens de leur nation par leur courage. Je sens que mon cœur est encore touché pour... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1822 - 508 pages
...CONNÉTARLE. N'EST-CE point le pauvre Bayard que je vois au pied de cet arbre , étendu sur l'herbe , et percé d'un grand coup? Oui c'est lui-même. Hélas!...voilà deux qui périssent aujourd'hui par nos armes, Vandenesseet lui. Ces deux Français étoient deux ornemens de leur nation par leur courage. Je sens... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1823 - 532 pages
...qui périssent aujourd'hui par nos armes, Vandenesse et lui. Ces deux Francais étoient deux ornemens de leur nation par leur courage. Je sens que mon cœur...Bayard, c'est avec douleur que je te vois en cet état. BAT. — C'est avec douleur que je vous vois aussi. BOURB. — Je comprends bien que tu es fâché... | |
| Authors - 1825 - 492 pages
...CONNÉTABLE. N'est-ce point le pauvre Bayard que je vois au pied de cet arbre, étendu sur l'herbe, et percé d'un grand coup! Oui, c'est lui-même. Hélas!...voilà deux qui périssent aujourd'hui par nos armes, Vendenesse et lui. Ces deux Français étaient deux ornements de leur nation par leur courage. Je sens... | |
| François Noel - 1835 - 596 pages
...CONNË'TABLE. N'est-ce point le pauvre Bayard queje vois au pied de cet arbre , étendu sur l'herbe, et percé d'un grand coup ? Oui , c'est lui-même. Hélas ! je le plains. En voila deux qui périssent aujourd'hui par nos armes, Vandenesse et lui. Ces deux François étoient... | |
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