| Paul-Louis Courier - 1828 - 514 pages
...l'année. Mon camarade y grimpa seul, et se coucha tout endormi, la tête sur la précieuse valise; moi, déterminé à veiller, je fis bon feu, et m'assis...disputer ; et prêtant l'oreille par la cheminée qui communiquait avec celle d'en bas, je distinguai parfaitement ces propres mots du mari : Eh bien enfin... | |
| French periodicals - 1828 - 686 pages
...l'année. Mon camarade y grimpa seul, et se coucha tout endormi, la tête sur la précieuse valise ; moi, déterminé à veiller, je fis bon feu, et m'assis...passée presque entière assez tranquillement , et je commencais à me rassurer , quand , sur l'heure où il me semblait que le jour ne pouvait être loin... | |
| French periodicals - 1828 - 688 pages
...l'année. Mon camarade y grimpa seul, et se coucha tout endormi, la tête sur la précieuse valise ; moi, déterminé à veiller, je fis bon feu, et m'assis auprès. La nu il s'était déjà passée presque entière assez tranquillement , et je commençais à me rassurer... | |
| Paul-Louis Courier - French literature - 1830 - 478 pages
...l'année. Mon camarade y grimpa seul , et se coucha tout endormi, la tète sur la précieuse valise. Moi, déterminé à veiller, je fis bon feu, et m'assis...semblait que le jour ne pouvait être loin , j'entendis au dessous de moi notre hôte et sa femme parler et se disputer; et prêtant l'oreille par la cheminée... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1834 - 428 pages
...l'année. Mon camarade y grimpa seul, et se coucha tout endormi, la tête sur la précieuse valise. Moi, déterminé à veiller, je fis bon feu, et m'assis...disputer; et prêtant l'oreille par la cheminée qui communiquait avec celle d'en bas, je distinguai parfaitement ces propres mots du mari : Eh bien l enfin... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1834 - 454 pages
...l'année. Mon camarade y grimpa seul, et se coucha tout endormi, la tète sur la précieuse valise. Moi, déterminé à veiller, je fis bon feu, et m'assis...disputer; et prêtant l'oreille par la cheminée qui communiquait avec celle d'en bas, je distinguai parfaitement ces propres mots du mari : Eh bien ! enfin... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1834 - 428 pages
...l'année. Mon camarade y grimpa seul, et se coucha tout endormi, la tête sur la précieuse valise. Moi, déterminé à veiller, je fis bon feu, et m'assis...il me semblait que le jour ne pouvait être loin, j'e^ tendis au-dessous de moi notre hôte et sa femnw parler et se disputer; et prêtant l'oreille... | |
| French authors - 1839 - 512 pages
...l'année. Mon camarade y grimpa seul, et se coucha tout endormi, la tête sur la précieuse valise. Moi, déterminé à veiller, je fis bon feu, et m'assis...disputer ; et prêtant l'oreille par la cheminée qui communiquait avec celle d'en bas, je distinguai parfaitement ces propres mots du mari : " Eh bien !... | |
| Guyet de Fernex - French literature - 1843 - 576 pages
...l'année. Mon camarade y grimpa seul, et se coucha tout endormi, la tête sur la précieuse valise; moi, déterminé à veiller, je fis bon feu, et m'assis...je commençais à me rassurer, quand, sur l'heure ou il me semblait que le jour ne pouvait être loin, j'entendis au-dessous de moi notre hôte et sa... | |
| Ghewond Hovnanean - French language - 1844 - 472 pages
...chargées de provisions pour toute l'année. Mon camarade y grimpa seul, et se coucha tout endormi ; moi, déterminé à veiller, je fis bon feu, et m'assis...disputer ; et prêtant l'oreille par la cheminée qui communiquait avec celle d'en bas , je distinguai ces propres mots du mari: Eh bien enfin, voyons, faut-il... | |
| |